L’appel lancé par Macky Sall pour des concertations sur le pétrole et le gaz n’adhèrent pas Abdoul Mbaye et Ousmane Sonko. Pour ce dernier, cet appel n’est ni plus ni moins qu’une manière de chercher une légitimité pour ses actes, ce dont il n’est pas question pour lui de valider.
«Le Président Sall méprise son peuple et pend son opposition pour des ignares bons à lui servir de faire valoir», a déclaré Ousmane Sonko dans les colonnes de l’As. A l’en croire, il ne fallait lancer cet invite avant «l’octroi des 5 blocs les plus promoteurs aux aventuriers Ovidiu Tender et Edy Wang et Frank Timis avec l’implication de votre frère Aliou Sall et la complicité de Aly Ngouye Ndiaye, avant la signature des deux blocs au profit de la société française Total avant l’autorisation des transactions spéculatives sur nos ressources pétrolières et gazières et avant l’accord de partage, avec le voisin mauritanien», a-t-il déclaré.
Donc, pour le leader de Pastef et député à l’Assemblée nationale, cet appel qu’il qualifie de «mascarade » n’est qu’un exercice de blanchiment des actes graves de mal gouvernance commis volontairement et sciemment par votre régime qui ainsi, a gravement compromis les intérêt de l’avenir de nos ressources naturelles».
La position de Sonko est partagée par l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye qui regrette que le chef de l’Etat ait attendu 6 ans après les signatures des conventions pour les appeler à un dialogue. Ce qu’il n’est pas question pour lui de valider.
«Le Président Sall méprise son peuple et pend son opposition pour des ignares bons à lui servir de faire valoir», a déclaré Ousmane Sonko dans les colonnes de l’As. A l’en croire, il ne fallait lancer cet invite avant «l’octroi des 5 blocs les plus promoteurs aux aventuriers Ovidiu Tender et Edy Wang et Frank Timis avec l’implication de votre frère Aliou Sall et la complicité de Aly Ngouye Ndiaye, avant la signature des deux blocs au profit de la société française Total avant l’autorisation des transactions spéculatives sur nos ressources pétrolières et gazières et avant l’accord de partage, avec le voisin mauritanien», a-t-il déclaré.
Donc, pour le leader de Pastef et député à l’Assemblée nationale, cet appel qu’il qualifie de «mascarade » n’est qu’un exercice de blanchiment des actes graves de mal gouvernance commis volontairement et sciemment par votre régime qui ainsi, a gravement compromis les intérêt de l’avenir de nos ressources naturelles».
La position de Sonko est partagée par l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye qui regrette que le chef de l’Etat ait attendu 6 ans après les signatures des conventions pour les appeler à un dialogue. Ce qu’il n’est pas question pour lui de valider.