La réélection de Mbagnick Ndiaye à la tête de la confédération africaine d’escrime n’a pas empêché les grincements de dents dans son camp, suite à ce qu’on pourrait qualifier de « trahison » marocaine.
En effet ce grand allié du Sénégal (Maroc), avec qui il y a des accords dans ce domaine, avait préféré se ranger du côté de son voisin algérien, Raoif Bernaoui. Mais, ce dernier, sans doute sentant le vent favorable au Sénégalais, a désisté avant le vote.
«Nous dénonçons avec la dernière énergie la position incompréhensible de nos frères du Maroc. Il y a des accords et des conventions qui lient les deux pays», a informé Oumar Maïga, directeur de campagne de Mbagnick Ndiaye.
A l’en croire, en sport, il est convenu que quand il y a un candidat d’un pays pour un poste dans les instances internationales, l’autre État doit le soutenir. «Ce qui n’a pas été le cas pour le renouvellement des instances de l’escrime», a-t-il dénoncé dans les colonnes du "Le Populaire".
En effet ce grand allié du Sénégal (Maroc), avec qui il y a des accords dans ce domaine, avait préféré se ranger du côté de son voisin algérien, Raoif Bernaoui. Mais, ce dernier, sans doute sentant le vent favorable au Sénégalais, a désisté avant le vote.
«Nous dénonçons avec la dernière énergie la position incompréhensible de nos frères du Maroc. Il y a des accords et des conventions qui lient les deux pays», a informé Oumar Maïga, directeur de campagne de Mbagnick Ndiaye.
A l’en croire, en sport, il est convenu que quand il y a un candidat d’un pays pour un poste dans les instances internationales, l’autre État doit le soutenir. «Ce qui n’a pas été le cas pour le renouvellement des instances de l’escrime», a-t-il dénoncé dans les colonnes du "Le Populaire".