« Monsieur Villiard n’a pas présenté une lettre de démission ; il n’a pas non plus été limogé », indique le professeur Richard Bileckot, Inspecteur général de la santé au ministère de la Santé et de la Population. Il est formel : le juriste canadien Sylvain Villiard a bien accompli sa tâche qui consistait à mener des réformes au sein du CHU.
« Il y a maintenant un plan directeur immobilier ; une relocalisation et un regroupement en pôles des services, sans oublier une mutualisation pour faire en sorte que le CHU soir maintenant conforme aux normes et standards internationaux. Tout ce travail a été fait par M. Villiard, c’est un travail très très riche qui permet maintenant à la deuxième année [du contrat d’assistance technique avec le Canada] d’implanter le changement », a expliqué M. Bileckot.
L’homme qui aura dirigé le CHU pendant seize mois seulement quittera définitivement le Congo le 10 août et sera remplacé par un médecin qualifié dans la gestion des hôpitaux. Celui-ci sera toujours désigné par le Canada. Un décret est attenu à cet effet.
Cependant, une source proche du dossier a indiqué à RFI que ce départ a plutôt l’air d’une démission. « Le Congo ne semble pas avoir respecté le contrat à la lettre », a-t-elle affirmé.
L’Intersyndicale du CHU qui a maintes fois demandé aux autorités de résilier ce contrat et dénoncé des détournements de fonds, attend de voir la nomination d’un nouveau directeur général pour se prononcer.
« Il y a maintenant un plan directeur immobilier ; une relocalisation et un regroupement en pôles des services, sans oublier une mutualisation pour faire en sorte que le CHU soir maintenant conforme aux normes et standards internationaux. Tout ce travail a été fait par M. Villiard, c’est un travail très très riche qui permet maintenant à la deuxième année [du contrat d’assistance technique avec le Canada] d’implanter le changement », a expliqué M. Bileckot.
L’homme qui aura dirigé le CHU pendant seize mois seulement quittera définitivement le Congo le 10 août et sera remplacé par un médecin qualifié dans la gestion des hôpitaux. Celui-ci sera toujours désigné par le Canada. Un décret est attenu à cet effet.
Cependant, une source proche du dossier a indiqué à RFI que ce départ a plutôt l’air d’une démission. « Le Congo ne semble pas avoir respecté le contrat à la lettre », a-t-elle affirmé.
L’Intersyndicale du CHU qui a maintes fois demandé aux autorités de résilier ce contrat et dénoncé des détournements de fonds, attend de voir la nomination d’un nouveau directeur général pour se prononcer.