Convoqués ce mercredi 2 janvier au Conseil constitutionnel pour disposer des procès-verbaux concernant leurs dossiers de parrainages, les mandataires aussi bien de l'opposition que du pouvoir sont montés au créneau pour fustiger le manque de respect dont ils sont les victimes. C’est le cas notamment pour Mamadou Diop Decroix qui se dit outré par la posture des sept (7) sages.
«On nous a convoqué depuis ce matin à 10 heures. Et depuis, nous restons-là à attendre que l’on nous appelle », a vivement décrié le Secrétaire général de Aj/Pads. Dans tous ses états, Decroix ajoute : «s’ils ne sont pas prêts, ils n’ont qu’à nous demander de revenir à 15 h, voire à minuit, mais ils n’ont pas le droit de nous planter là, en tant que responsables, sans aucune explication.
Pis encore, ce membre du Front social de résistance nationale (Frn) dénonce les consignes données aux forces de l’ordre présentes en nombre devant l’institution, de ne pas les laisser accéder aux locaux.
«On nous a convoqué depuis ce matin à 10 heures. Et depuis, nous restons-là à attendre que l’on nous appelle », a vivement décrié le Secrétaire général de Aj/Pads. Dans tous ses états, Decroix ajoute : «s’ils ne sont pas prêts, ils n’ont qu’à nous demander de revenir à 15 h, voire à minuit, mais ils n’ont pas le droit de nous planter là, en tant que responsables, sans aucune explication.
Pis encore, ce membre du Front social de résistance nationale (Frn) dénonce les consignes données aux forces de l’ordre présentes en nombre devant l’institution, de ne pas les laisser accéder aux locaux.