La victoire de Serigne Mboup aux élections locales à Kaolack ne connaît pas de contestation, il a été installé sans aucun souci. Ce qui n'est pas le cas du Conseil départemental. En effet, l’installation du président du Conseil départemental n'a pas pu s'effectuer jusque-là.
Un recours a été déposé par la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby) pour contester les résultats. Le 1er président de la Cour, le juge Ousmane Kane qui a tranché sur l’affaire a déclaré qu'il « ordonnait le sursis à l'installation dudit Conseil, la commune n'étant pas concernée, jusqu'au prononcé de la décision de la Cour d'appel sur le recours déposé ».
En clair, un recomptage des voix sera effectué, renseigne « L’As ». « Considérant qu'en-dehors des griefs de portée générale relatifs aux faits de violences qui auraient été commis, la solution au contentieux soumis à la Cour de céans exige un recomptage des suffrages dans les prochains jours (semaine du 21 au 24 février 2022) », a affirmé le tribunal.
Une décision qui n’a pas manqué de scandaliser le camp de Youssouf Bengelloun. Les partisans de ce dernier ont estimé que les raisons évoquées sont loin de suffire pour suspendre l'installation des membres du Conseil départemental. Ils ont soutenu que « les recours ne sont pas suspensifs » et que le juge préjuge au fond, en disant cela ».
Un recours a été déposé par la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby) pour contester les résultats. Le 1er président de la Cour, le juge Ousmane Kane qui a tranché sur l’affaire a déclaré qu'il « ordonnait le sursis à l'installation dudit Conseil, la commune n'étant pas concernée, jusqu'au prononcé de la décision de la Cour d'appel sur le recours déposé ».
En clair, un recomptage des voix sera effectué, renseigne « L’As ». « Considérant qu'en-dehors des griefs de portée générale relatifs aux faits de violences qui auraient été commis, la solution au contentieux soumis à la Cour de céans exige un recomptage des suffrages dans les prochains jours (semaine du 21 au 24 février 2022) », a affirmé le tribunal.
Une décision qui n’a pas manqué de scandaliser le camp de Youssouf Bengelloun. Les partisans de ce dernier ont estimé que les raisons évoquées sont loin de suffire pour suspendre l'installation des membres du Conseil départemental. Ils ont soutenu que « les recours ne sont pas suspensifs » et que le juge préjuge au fond, en disant cela ».