« Ce que nous attendons des autorités, c’est qu’ils nous aident au moins à assainir la zone. Mais assainir la zone ne veut pas dire se limiter à ce que l’on voit seulement. Il faut pénétrer dans le cœur du problème et essayer de régler », martèle Ibrahima Ndiaye, enseignant logé en plein milieu d’un champ d’ordures qui s’étend à perte de vue à Boustane 2, selon le journal « Le Populaire ».
Plus loin il ajoute : « Et le problème numéro un, c’est l’électricité. Il n’y a pas d’électricité dans la zone, la nuit il fait excessivement noir. Ensuite, il n’y a pas d’eau. Toutes les concessions ici ne sont pas pourvues en eau, seuls les premiers venus bénéficient d’eau et d’électricité. Nous, nous n’en avons pas ».
Plus loin il ajoute : « Et le problème numéro un, c’est l’électricité. Il n’y a pas d’électricité dans la zone, la nuit il fait excessivement noir. Ensuite, il n’y a pas d’eau. Toutes les concessions ici ne sont pas pourvues en eau, seuls les premiers venus bénéficient d’eau et d’électricité. Nous, nous n’en avons pas ».