En effet, le programme lancé pas plus tard que ce vendredi par le ministre de la santé, Eva Marie Coll Seck qui a fait part de « cette priorité de s autorités étatiques qu’« la planification familiale » qui sera « dans les toutes prochaines semaines et ce, jusqu’en mai 2014 la priorité des priorités qui sera « menée tambours battant dans les dix mois à venir par une campagne tous azimuts notamment auprès des populations les plus démunies », n’agrée point les « djihadistes », selon les services de renseignements qui prévient de « l’éveil de conscience chez la plupart des associations islamistes dirigés par des imams souvent conservateurs ».
Pis, ces derniers qui jugent le « programme contre les préceptes de l’Islam et les enseignements de son Prophète (Psl) puisque incitant à la débauche, au libertinage sexuel…) sont en train de « se mobiliser et de s’organiser » en vue de « mesures à la fois ponctuelles et stratégiques » contre le projet du gouvernement Sall.
Comme lors du truculent débat autour de la dépénalisation de l’homosexualité au Sénégal, remarque le journal « l’observateur » qui exclut toutefois tout risque de « recul du pouvoir en place". Ce, "vu l’implication effective de responsables au premier plan du fonds des Nations Unies pour la Population (UNPA)dans la campagne nationale de limitation des naissances bien démarrée au Sénégal".