«La venue de l’Unacois/Jappo a un triple objectif», a déclaré André Froissard, le Directeur général de la Css. Ce dernier fait savoir qu’il s’agit avant tout de voir si les promesses de la Css en matière d’investissements pour pouvoir produire 150 000 tonnes de sucre d’ici 2018 ont été effectués. Ce qui de l’avis de M. Froissard est en bonne voie affirmant au passage qu’ils avaient en ligne de mire l’atteinte de la production de 220 000 tonnes de sucre à l’horizon 2020.
Quant aux commerçants, ils se sont engagés à faire le nécessaire pour promouvoir le «consommer local», a fait savoir le secrétaire général de l’Unacois/Jappo Alla Dieng : «ce sera un renouvellement de renouvellement de convention puisqu’elle existait depuis 2013, mais aussi on a su qu’il y avait des manquements dans ce protocole donc on est venu pour renouveler cette convention pour voir des réaménagements à faire», indique-t-il.
Cette initiative est encouragée par le président de l’Union des Chambres de commerces du Sénégal, Serigne Mboup. A en croire ce dernier, l’union des agriculteurs, des industriels et des commerçants est une primordiale car : «on ne peut pas être commerçant et être l’ennemi des industriels ou des agriculteurs».
Quant aux commerçants, ils se sont engagés à faire le nécessaire pour promouvoir le «consommer local», a fait savoir le secrétaire général de l’Unacois/Jappo Alla Dieng : «ce sera un renouvellement de renouvellement de convention puisqu’elle existait depuis 2013, mais aussi on a su qu’il y avait des manquements dans ce protocole donc on est venu pour renouveler cette convention pour voir des réaménagements à faire», indique-t-il.
Cette initiative est encouragée par le président de l’Union des Chambres de commerces du Sénégal, Serigne Mboup. A en croire ce dernier, l’union des agriculteurs, des industriels et des commerçants est une primordiale car : «on ne peut pas être commerçant et être l’ennemi des industriels ou des agriculteurs».