La cinéaste française Isabelle Matic a annoncé, jeudi 15 janvier, sur son compte Facebook, sa conversion à l’Islam. Elle a accompagné l’annonce d’un message sur la publication des caricatures : « Entre le massacre fait dans les locaux de Charlie Hebdo et les autres qui ont suivi : je suis devenue musulmane », a publié la cinéaste française sur son compte facebook, ce jeudi. Elle se dit « toujours pour la liberté d’expression pour tous ».
Mais sur sa position vis à vis des caricatures du Prophète Mohamed (PSL), sur le journal satirique, elle explique que la sagesse est la réponse aux provocations. «C’est ce que le bien aimé Prophète (PSL) nous a enseigné », sert-elle par ailleurs. « Ils se moquent de Mohamed et ne font aucun mal à Mohamed. Ils se moquent d’un personnage qu’ils ont imaginé et à qui ils ont donné un nom. Vous ne l’atteindrez pas et vous ne l’égalerez pas. », a écrit Isabelle sur Facebook.
Avant d’ajouter : «Les Mecquois se moquaient de Mohammed (digne de louanges) en l’appelant Modamam (digne d’injures). Le prophète (QSSSL) souriait. Oui, il souriait ! Et il disait : ils se moquent de Modamam et non pas de moi». Elle invite les gens à ne pas répondre à la provocation et ne pas donner d’importance à ce journal satirique. « Le silence fait taire l’insolence », conclut-elle.
Mais sur sa position vis à vis des caricatures du Prophète Mohamed (PSL), sur le journal satirique, elle explique que la sagesse est la réponse aux provocations. «C’est ce que le bien aimé Prophète (PSL) nous a enseigné », sert-elle par ailleurs. « Ils se moquent de Mohamed et ne font aucun mal à Mohamed. Ils se moquent d’un personnage qu’ils ont imaginé et à qui ils ont donné un nom. Vous ne l’atteindrez pas et vous ne l’égalerez pas. », a écrit Isabelle sur Facebook.
Avant d’ajouter : «Les Mecquois se moquaient de Mohammed (digne de louanges) en l’appelant Modamam (digne d’injures). Le prophète (QSSSL) souriait. Oui, il souriait ! Et il disait : ils se moquent de Modamam et non pas de moi». Elle invite les gens à ne pas répondre à la provocation et ne pas donner d’importance à ce journal satirique. « Le silence fait taire l’insolence », conclut-elle.