Bougar Diouf, président de l’Union Patriotique (UP) et membre de la coalition Diomaye Président, affirme qu’il ne reviendra pas sur ses déclarations, malgré sa convocation ce vendredi 22 août à 9h par la Division de la Cybercriminalité. « Je maintiens tous mes propos », a-t-il insisté dans une réaction rendue publique ce jeudi, ajoutant qu’il est prêt « à tous les sacrifices » pour défendre la République et l’unité nationale.
Il explique que son combat est « non négociable » et qu’il s’inscrit dans la « défense de l’État de droit, la protection des fondements de l’État, la sauvegarde des intérêts supérieurs de la Nation, la préservation des institutions de la République, la sacralité de la fonction présidentielle et l’intégrité territoriale du Sénégal ».
Il rappelle que le Sénégal est « un et indivisible » et que jamais « une quelconque partie du territoire national ne saurait appartenir à des tiers », rejetant toute revendication séparatiste, qu’il s’agisse du MFDC ou d’autres mouvements.
La convocation de Bougar Diouf intervient après un post publié sur Facebook, dans lequel il interpellait directement le Premier ministre Ousmane Sonko. Il l’exhortait à « dire clairement aux rebelles de la Casamance d’arrêter d’acheter des armes à Paris et en Turquie », avant de poser la question : « Ces armes, c’est pour quoi faire ? Pour affronter l’armée sénégalaise ? » L’opposant reprochait aussi au chef du gouvernement d’avoir voulu participer à une rencontre entre les généraux et le président de la République, estimant que « ce n’était pas sa place ».
Dans sa déclaration, Bougar Diouf prévient qu’il n’y aura « ni recul, ni compromission devant la vérité », ajoutant que « l’unité nationale et la stabilité du Sénégal sont non négociables ».
Il appelle la société civile, la presse nationale et internationale, ainsi que les mouvements citoyens comme Y’en a marre à se mobiliser autour de ce qu’il qualifie de combat pour la République.
« Lorsqu’un Premier ministre s’empresse de gouverner à la place du Président, en contradiction avec l’ordre établi, il est du devoir de tout citoyen de défendre la République », insiste-t-il.
Il explique que son combat est « non négociable » et qu’il s’inscrit dans la « défense de l’État de droit, la protection des fondements de l’État, la sauvegarde des intérêts supérieurs de la Nation, la préservation des institutions de la République, la sacralité de la fonction présidentielle et l’intégrité territoriale du Sénégal ».
Il rappelle que le Sénégal est « un et indivisible » et que jamais « une quelconque partie du territoire national ne saurait appartenir à des tiers », rejetant toute revendication séparatiste, qu’il s’agisse du MFDC ou d’autres mouvements.
La convocation de Bougar Diouf intervient après un post publié sur Facebook, dans lequel il interpellait directement le Premier ministre Ousmane Sonko. Il l’exhortait à « dire clairement aux rebelles de la Casamance d’arrêter d’acheter des armes à Paris et en Turquie », avant de poser la question : « Ces armes, c’est pour quoi faire ? Pour affronter l’armée sénégalaise ? » L’opposant reprochait aussi au chef du gouvernement d’avoir voulu participer à une rencontre entre les généraux et le président de la République, estimant que « ce n’était pas sa place ».
Dans sa déclaration, Bougar Diouf prévient qu’il n’y aura « ni recul, ni compromission devant la vérité », ajoutant que « l’unité nationale et la stabilité du Sénégal sont non négociables ».
Il appelle la société civile, la presse nationale et internationale, ainsi que les mouvements citoyens comme Y’en a marre à se mobiliser autour de ce qu’il qualifie de combat pour la République.
« Lorsqu’un Premier ministre s’empresse de gouverner à la place du Président, en contradiction avec l’ordre établi, il est du devoir de tout citoyen de défendre la République », insiste-t-il.