Dans une dynamique de coopération culturelle ambitieuse, le Sénégal et la Catalogne unissent leurs forces pour le développement de l’industrie cinématographique sénégalaise. C’est dans ce cadre que le Festival Itinérant des Cinémas Africains de Catalogne (FICAC) a posé ses valises au Sénégal, avec pour objectif de faire connaître le potentiel cinématographique du pays et de rapprocher le cinéma sénégalais de son propre public.
Quatre villes sénégalaises, dont Kolda, ont ainsi accueilli ce dimanche 25 mai des projections de quatre courts-métrages récents, témoins vibrants de l’énergie, de la créativité et de la diversité du cinéma sénégalais contemporain. Les œuvres présentées abordent des thématiques riches et variées, allant de l’enfance à la mémoire, en passant par la politique et la spiritualité, démontrant la profondeur narrative et artistique de la jeune génération de cinéastes.
À Kolda, Seydou Wane, secrétaire exécutif de l’ONG FODDE, a salué cette initiative qui, selon lui, a permis d'échanger avec le public sur le potentiel immense du Fouladou en matière de culture et de création artistique. Il a évoqué les nombreuses initiatives locales comme Festi-Kolfa, le Grand Djou-Djou ou encore le musée de Kolda, autant d’exemples qui montrent que « quand les gens parlent de création d’emplois, la niche la plus importante, c’est l’industrie culturelle ». Il insiste sur la richesse des métiers liés aux arts et à la culture, encore sous-exploités mais porteurs d’avenir pour la jeunesse locale.
La coopération ne s’arrête pas aux projections. Le représentant du Fonds Catalan de Coopération au Sénégal a annoncé la mise en place de formations professionnelles destinées à initier les jeunes au métier du cinéma. Dans le prolongement de cette dynamique, Toti Rovira, responsable du FICAC, a révélé que des activités pédagogiques autour du cinéma seront introduites dès l’année prochaine à l’Université de Ziguinchor, avec l’objectif de renforcer les compétences et de créer un vivier de futurs professionnels du secteur.
Cette coopération entre le Sénégal et la Catalogne se présente ainsi comme un levier stratégique pour la valorisation du patrimoine culturel local, tout en créant des opportunités concrètes pour les jeunes talents. À travers le FICAC, c’est un véritable pont cinématographique qui se tisse, avec l’ambition de bâtir une industrie cinématographique sénégalaise forte, inclusive et rayonnante sur la scène internationale.
Quatre villes sénégalaises, dont Kolda, ont ainsi accueilli ce dimanche 25 mai des projections de quatre courts-métrages récents, témoins vibrants de l’énergie, de la créativité et de la diversité du cinéma sénégalais contemporain. Les œuvres présentées abordent des thématiques riches et variées, allant de l’enfance à la mémoire, en passant par la politique et la spiritualité, démontrant la profondeur narrative et artistique de la jeune génération de cinéastes.
À Kolda, Seydou Wane, secrétaire exécutif de l’ONG FODDE, a salué cette initiative qui, selon lui, a permis d'échanger avec le public sur le potentiel immense du Fouladou en matière de culture et de création artistique. Il a évoqué les nombreuses initiatives locales comme Festi-Kolfa, le Grand Djou-Djou ou encore le musée de Kolda, autant d’exemples qui montrent que « quand les gens parlent de création d’emplois, la niche la plus importante, c’est l’industrie culturelle ». Il insiste sur la richesse des métiers liés aux arts et à la culture, encore sous-exploités mais porteurs d’avenir pour la jeunesse locale.
La coopération ne s’arrête pas aux projections. Le représentant du Fonds Catalan de Coopération au Sénégal a annoncé la mise en place de formations professionnelles destinées à initier les jeunes au métier du cinéma. Dans le prolongement de cette dynamique, Toti Rovira, responsable du FICAC, a révélé que des activités pédagogiques autour du cinéma seront introduites dès l’année prochaine à l’Université de Ziguinchor, avec l’objectif de renforcer les compétences et de créer un vivier de futurs professionnels du secteur.
Cette coopération entre le Sénégal et la Catalogne se présente ainsi comme un levier stratégique pour la valorisation du patrimoine culturel local, tout en créant des opportunités concrètes pour les jeunes talents. À travers le FICAC, c’est un véritable pont cinématographique qui se tisse, avec l’ambition de bâtir une industrie cinématographique sénégalaise forte, inclusive et rayonnante sur la scène internationale.