Autour de la table, la discussion s'anime : "J'ai été plus chambré sur le fait que je sois chauve que blanc", explique avec humour Franck Gastambide, tandis que la maîtresse de maison, sans langue de bois, lance un tacle à Jean-François Copé : "Vous généralisez la pratique de quelques abrutis pour gagner les élection à l'UMP." "Le repas est bon et épicé, comme la conversation", résume bien l'un des convives. Outre ce vif débat, on retrouve, au menu, un tajine et un tiramisu aux fruits rouges pour le dessert. Le tournage prend malheureusement du retard, et Jean-François Copé doit quitter l'appartement à 23h40 : "Nadia, il faut qu'on y aille", lance l'élu UMP à sa femme, qui tient à être en forme pour son rendez-vous avec Canal+ le lendemain matin. Jean-François Copé manque donc la fin de l'émission, autour d'un narguilé, ce qui n'est de toute façon "pas son truc", selon son épouse.
Derrière le concept de Viens dîner dans ma cité, on retrouve le réalisateur Djamel Bensalah, à qui l'on doit plusieurs comédies comme Le Ciel, les oiseaux et...ta mère !, Le Raid ou Beur sur la ville : "J'ai grandi en banlieue et j'ai toujours voulu donner la parole aux habitants", explique le cinéaste de 36 ans, qui aimerait avoir le ministre de l'Éducation Vincent Peillon ou encore Diam's pour l'un des trois prochains numéros prévus. Pour la deuxième, l'émission accueillera Grand Corps Malade.
Purepeople.com
Derrière le concept de Viens dîner dans ma cité, on retrouve le réalisateur Djamel Bensalah, à qui l'on doit plusieurs comédies comme Le Ciel, les oiseaux et...ta mère !, Le Raid ou Beur sur la ville : "J'ai grandi en banlieue et j'ai toujours voulu donner la parole aux habitants", explique le cinéaste de 36 ans, qui aimerait avoir le ministre de l'Éducation Vincent Peillon ou encore Diam's pour l'un des trois prochains numéros prévus. Pour la deuxième, l'émission accueillera Grand Corps Malade.
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