Les 12 étudiants sénégalais bloqués en Chine, précisément à Wuhan, épicentre du Coronavirus, ont décidé de régler la situation eux-mêmes, suite à l’incapacité de l’Etat du Sénégal de les rapatrier au pays. Leur porte-parole, Mbacké Amar a annoncé qu'ils sont en train de se concerter avec leurs confrères des pays de l’Afrique de l’Ouest pour saisir la Cedeao (communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest) afin de trouver une solution.
« La situation qu’on vit ici est que l’ambassadeur du Sénégal en Chine, avec son soutien moral, chaque jour et chaque matin nous appelle pour s’enquérir de notre situation, et aussi des autorités chinoises qui essaient de gérer la crise avec toute l’aide qu’elles peuvent. Mais s’agissant des autorités sénégalaises qui sont au pays, depuis qu’on a reçu l’argent (650 000 F Cfa chacun), nous n’avons plus de contact avec elles », a déploré Amar sur la Rfm.
Il informe: « A notre niveau, nous continuons notre chemin, et nous essayons de nous regrouper avec nos confrères africains surtout de l’Afrique de l’Ouest pour essayer de remonter les choses au niveau de la CEDEAO (Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest) afin d’avoir une solution».
Ces étudiants, très sereins malgré le danger qui guette leur vie depuis l’apparition du Coronavirus, préfèrent l’aide des pays africains et non des pays étrangers. « On pourrait bel et bien contacter la France ou bien d’autres pays pour nous aider, mais nous ne voulons pas de ça, nous voulons vraiment une aide venant des pays africains et principalement du Sénégal », a-t-il conclu.
« La situation qu’on vit ici est que l’ambassadeur du Sénégal en Chine, avec son soutien moral, chaque jour et chaque matin nous appelle pour s’enquérir de notre situation, et aussi des autorités chinoises qui essaient de gérer la crise avec toute l’aide qu’elles peuvent. Mais s’agissant des autorités sénégalaises qui sont au pays, depuis qu’on a reçu l’argent (650 000 F Cfa chacun), nous n’avons plus de contact avec elles », a déploré Amar sur la Rfm.
Il informe: « A notre niveau, nous continuons notre chemin, et nous essayons de nous regrouper avec nos confrères africains surtout de l’Afrique de l’Ouest pour essayer de remonter les choses au niveau de la CEDEAO (Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest) afin d’avoir une solution».
Ces étudiants, très sereins malgré le danger qui guette leur vie depuis l’apparition du Coronavirus, préfèrent l’aide des pays africains et non des pays étrangers. « On pourrait bel et bien contacter la France ou bien d’autres pays pour nous aider, mais nous ne voulons pas de ça, nous voulons vraiment une aide venant des pays africains et principalement du Sénégal », a-t-il conclu.