Suite et pas fin dans l’affaire de corruption présumée qui entoure l’AIBD. Le parquet de Frankfort (Allemagne) s’apprête à lancer une vaste offense contre les personnes mises en cause, en Allemagne et au Sénégal.
En effet, un lien secret établi par Bibo Bourgi et le consortium qui avait gagné sous le régime d’Abdoulaye Wade le contrat relatif à la conception, la réalisation, l’entretien, la maintenance, l’exploitation et le développement de l’AIBD, a été découvert par les autorités allemandes.
Le premier jalon de ce deal est posé le 22 octobre 2006, trois (3) mois après la signature de cette "monstrueuse" convention. Et, pour verrouiller ce deal, un autre acte est posé 17 avril 2008 chez le même notaire à Luxembourg.
Pour couronner le tout, «Bibo et ses amis qui venaient de réaliser le deal du siècle », renseigne la même source, devaient mettre tout cet ensemble dans Daport, une société de droit sénégalais qui sera présentée comme une filiale de Fraport. Ce qui n’est pas le cas».
Selon le journal Libération qui donne l'info, pour brouiller les pistes, un autre prête-nom allait faire son entrée en scène en ignorant les vraies motivations de ceux qui l’avaient engagé et qui avait juste besoin de sa carte d’identité devant le notaire.
Une affaire à suivre…
En effet, un lien secret établi par Bibo Bourgi et le consortium qui avait gagné sous le régime d’Abdoulaye Wade le contrat relatif à la conception, la réalisation, l’entretien, la maintenance, l’exploitation et le développement de l’AIBD, a été découvert par les autorités allemandes.
Le premier jalon de ce deal est posé le 22 octobre 2006, trois (3) mois après la signature de cette "monstrueuse" convention. Et, pour verrouiller ce deal, un autre acte est posé 17 avril 2008 chez le même notaire à Luxembourg.
Pour couronner le tout, «Bibo et ses amis qui venaient de réaliser le deal du siècle », renseigne la même source, devaient mettre tout cet ensemble dans Daport, une société de droit sénégalais qui sera présentée comme une filiale de Fraport. Ce qui n’est pas le cas».
Selon le journal Libération qui donne l'info, pour brouiller les pistes, un autre prête-nom allait faire son entrée en scène en ignorant les vraies motivations de ceux qui l’avaient engagé et qui avait juste besoin de sa carte d’identité devant le notaire.
Une affaire à suivre…