
Une trentaine de prisonniers pro-Gbagbo doit être libérée dans les jours qui viennent, c’est ce qu’a promis à l’opposition ivoirienne la patronne des Nations unies en Côte d’Ivoire. Une liste de noms devait être communiquée dès ce vendredi mais les négociations sont plus compliquées qu’attendues. La déclaration prévue à l’issue d’une rencontre entre Aïchatou Mindaoudou et le président ivoirien a même été annulée.
Malgré ce retard, au sein du Front populaire ivoirien, on reste confiant. « Tout devrait être rapidement débloqué. Nous avons même bon espoir que tous nos détenus soient libérés d’ici à la fin de l’année », confie Alcide Djédjé, en charge de ce dossier au sein du FPI, qui recense encore 238 prisonniers pro-Gbagbo.
Leur libération est depuis 2011 une revendication première de l’opposition, et l’objet de récurrentes négociations. Depuis le début de l’année, une centaine de pro-Gbagbo a déjà été libérée. Mais de célèbres personnalités sont toujours en détention, comme les anciens ministres Lida Kouassi, Assoa Adou ou Simone Gbagbo, l’épouse de l’ancien président. Déjà condamnée à 20 ans de prison, son second procès s’est ouvert cet été.
Source: Rfi.fr
Malgré ce retard, au sein du Front populaire ivoirien, on reste confiant. « Tout devrait être rapidement débloqué. Nous avons même bon espoir que tous nos détenus soient libérés d’ici à la fin de l’année », confie Alcide Djédjé, en charge de ce dossier au sein du FPI, qui recense encore 238 prisonniers pro-Gbagbo.
Leur libération est depuis 2011 une revendication première de l’opposition, et l’objet de récurrentes négociations. Depuis le début de l’année, une centaine de pro-Gbagbo a déjà été libérée. Mais de célèbres personnalités sont toujours en détention, comme les anciens ministres Lida Kouassi, Assoa Adou ou Simone Gbagbo, l’épouse de l’ancien président. Déjà condamnée à 20 ans de prison, son second procès s’est ouvert cet été.
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