L'Algérie assouplit les conditions d'entrée sur le sol de ses ressortissants bloqués à l'étranger en raison de la pandémie de Covid-19 à compter du mardi 1er juin. Cette décision s'accompagne d'une réduction des frais de confinement obligatoire et d'une exonération pour les étudiants et les personnes âgées à faible revenu.
Cette annonce survient alors que la nombreuse diaspora algérienne proteste depuis plusieurs jours contre les conditions de retour draconiennes en Algérie mises en place à partir du 1er juin.
Il a également été décidé de "baisser les frais d'hébergement de 20 % pour les Algériens de retour au pays", selon le communiqué du gouvernement. Ces frais avaient été fixés à 41 000 dinars (250 euros) et l'hôtel, sélectionné par les autorités, devait être payé au moment de l'achat des billets.
Pour pouvoir embarquer, les passager algériens doivent aussi effectuer deux tests PCR, l'un de moins de 36 heures, avant d'embarquer et l'autre cinq jours après leur arrivée.
Colère des Algériens de France
Le gouvernement avait annoncé la semaine dernière une reprise progressive, à partir du 1er juin, des vols de la compagnie nationale Air Algérie après une suspension de plus de 15 mois.
Il avait alors précisé que les frais de confinement et de dépistage à l'arrivée seraient à la charge des passagers.
Une mesure qui a soulevé la colère des Algériens établis ou bloqués à l'étranger, notamment en France. Des centaines d'entre eux ont manifesté, samedi, devant des consulats de l'Algérie dans l'Hexagone, pour dénoncer les conditions imposées par le gouvernement pour cette réouverture partielle des frontières.
Cette annonce survient alors que la nombreuse diaspora algérienne proteste depuis plusieurs jours contre les conditions de retour draconiennes en Algérie mises en place à partir du 1er juin.
Il a également été décidé de "baisser les frais d'hébergement de 20 % pour les Algériens de retour au pays", selon le communiqué du gouvernement. Ces frais avaient été fixés à 41 000 dinars (250 euros) et l'hôtel, sélectionné par les autorités, devait être payé au moment de l'achat des billets.
Pour pouvoir embarquer, les passager algériens doivent aussi effectuer deux tests PCR, l'un de moins de 36 heures, avant d'embarquer et l'autre cinq jours après leur arrivée.
Colère des Algériens de France
Le gouvernement avait annoncé la semaine dernière une reprise progressive, à partir du 1er juin, des vols de la compagnie nationale Air Algérie après une suspension de plus de 15 mois.
Il avait alors précisé que les frais de confinement et de dépistage à l'arrivée seraient à la charge des passagers.
Une mesure qui a soulevé la colère des Algériens établis ou bloqués à l'étranger, notamment en France. Des centaines d'entre eux ont manifesté, samedi, devant des consulats de l'Algérie dans l'Hexagone, pour dénoncer les conditions imposées par le gouvernement pour cette réouverture partielle des frontières.