Les deux boîtes noires ont été retrouvées ce matin par les secouristes. Celles-ci devraient permettre d’en apprendre plus sur les conditions de la catastrophe. Les séparatistes pro-russes auraient déjà récupéré l'enregistreur de vol de l'avion malaisien. Ils ont affirmé qu'ils allaient la remettre aux enquêteurs et ils ont confirmé qu'il n'y avait pas de survivants.
Les séparatistes affirment vouloir faciliter l'enquête
Ce vendredi matin, les séparatistes ukrainiens et pro-russes ont affirmé donner leur accord pour que les enquêteurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) accèdent à la zone. Ils s’engagent aussi à leur donner un accès sûr, ainsi qu’à collaborer avec les autorités. L'OSCE va se réunir d'urgence à Vienne.
Il y avait à bord 298 personnes, dont au moins 154 Néerlandais, selon la compagnie aérienne malaisienne. Les corps sans vie des passagers sont éparpillés dans la zone d'impact au milieu des morceaux de fuselage et des restes de bagages. Le crash a eu lieu aux alentours du village de Grabove dans la région de Donetsk. Les soldats, des forces rebelles et les pompiers sont arrivés rapidement sur place.
Incertitudes sur d'éventuelles victimes françaises
Les médias australiens affirment qu’une centaine de passagers se rendaient à la conférence sur le Sida qui débute ce weekend à Melbourne. Jeudi soir, François Hollande a affirmé qu'il pourrait y avoir plusieurs Français parmi les victimes du crash. Une information qui, pour l'instant, n'est pas confirmée. A l'heure actuelle, vingt passagers sont encore sans nationalité confirmée. Ce vendredi matin, Frédéric Cuvillier, ministre français des Transports a précisé que « il est possible que parmi ces personnes il puisse y avoir des Français ».
Réactions de la communauté internationale
Les analystes du renseignement américain ont annoncé qu'ils « croyaient fortement » que le Boeing 777 a été abattu par un missile sol-air. Reste à déterminer si le missile a été tiré par des séparatistes pro-russes de l'est de l'Ukraine, des soldats russes de l'autre côté de la frontière ou des membres des forces gouvernementales ukrainiennes. Tous se renvoient la responsabilité de l’attaque.
Les réactions se succèdent ce vendredi matin, au lendemain de la catastrophe. Le Premier ministre britannique, David Cameron a déclaré vouloir convoquer une réunion de crise. Angela Merkel appelle à un cessez-le-feu immédiat en Ukraine. Vladimir Poutine, le président russe, a insisté sur la nécessité d’un « règlement urgent » de la crise en Ukraine. L'Ukraine de son côté est choquée par la catastrophe. Le Premier ministre qui accuse les Russes demande que les coupables soient jugés à La Haye
Les séparatistes affirment vouloir faciliter l'enquête
Ce vendredi matin, les séparatistes ukrainiens et pro-russes ont affirmé donner leur accord pour que les enquêteurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) accèdent à la zone. Ils s’engagent aussi à leur donner un accès sûr, ainsi qu’à collaborer avec les autorités. L'OSCE va se réunir d'urgence à Vienne.
Il y avait à bord 298 personnes, dont au moins 154 Néerlandais, selon la compagnie aérienne malaisienne. Les corps sans vie des passagers sont éparpillés dans la zone d'impact au milieu des morceaux de fuselage et des restes de bagages. Le crash a eu lieu aux alentours du village de Grabove dans la région de Donetsk. Les soldats, des forces rebelles et les pompiers sont arrivés rapidement sur place.
Aucun périmètre de sécurité ne protège la zone.
Les médias australiens affirment qu’une centaine de passagers se rendaient à la conférence sur le Sida qui débute ce weekend à Melbourne. Jeudi soir, François Hollande a affirmé qu'il pourrait y avoir plusieurs Français parmi les victimes du crash. Une information qui, pour l'instant, n'est pas confirmée. A l'heure actuelle, vingt passagers sont encore sans nationalité confirmée. Ce vendredi matin, Frédéric Cuvillier, ministre français des Transports a précisé que « il est possible que parmi ces personnes il puisse y avoir des Français ».
Réactions de la communauté internationale
Les analystes du renseignement américain ont annoncé qu'ils « croyaient fortement » que le Boeing 777 a été abattu par un missile sol-air. Reste à déterminer si le missile a été tiré par des séparatistes pro-russes de l'est de l'Ukraine, des soldats russes de l'autre côté de la frontière ou des membres des forces gouvernementales ukrainiennes. Tous se renvoient la responsabilité de l’attaque.
Les réactions se succèdent ce vendredi matin, au lendemain de la catastrophe. Le Premier ministre britannique, David Cameron a déclaré vouloir convoquer une réunion de crise. Angela Merkel appelle à un cessez-le-feu immédiat en Ukraine. Vladimir Poutine, le président russe, a insisté sur la nécessité d’un « règlement urgent » de la crise en Ukraine. L'Ukraine de son côté est choquée par la catastrophe. Le Premier ministre qui accuse les Russes demande que les coupables soient jugés à La Haye