La présidence du Conseil des femmes du Sénégal (Cosef), Seynabou Mbaye, est revenue sur la crise qui secoue le président Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko. Elle a prévenu que si le "duo échoue, c’est une génération qui aura échoué", invitant "tout le monde à s’investir dans la résolution de la crise" au sommet de l’Etat.
Au cours de l’émission "Objection" sur Sud fm, ce dimanche 07 décembre, Seynabou Mbaye a appelé à ce que des "médiations puissent être menées pour l’intérêt" du Sénégal. "Une situation de crise impacte toujours les personnes les plus vulnérables. Il y a des enjeux de pouvoir, c’est indéniable. Mais je pense que tout le monde doit s’investir", a-t-elle précisé.
"Il me semble, à entendre le discours des deux protagonistes, que le dialogue est possible. Mais quand vous voyez ce qui se passe au niveau de leurs partisans, et qui est très amplifié par les réseaux sociaux, vous êtes convaincu du contraire", a dit la présidente du Cosef, qui compte "trouver les moyens" d’engager la médiation, en qualité de "femme" et de responsable d’Institution.
En attendant qu’une solution soit trouvée, Seynabou Mbaye a souhaité aussi que le président Faye, détenteur de la "légalité" et son Premier ministre, détenteur de la "légitimité populaire", puissent exercer leurs fonctions dans "le respect de la loi et de la Constitution". Elle les a enfin rappelés qu’ils ont "le devoir d’être attentifs à la charge de l’espérance du peuple qui pèse sur leurs épaules".
Au cours de l’émission "Objection" sur Sud fm, ce dimanche 07 décembre, Seynabou Mbaye a appelé à ce que des "médiations puissent être menées pour l’intérêt" du Sénégal. "Une situation de crise impacte toujours les personnes les plus vulnérables. Il y a des enjeux de pouvoir, c’est indéniable. Mais je pense que tout le monde doit s’investir", a-t-elle précisé.
"Il me semble, à entendre le discours des deux protagonistes, que le dialogue est possible. Mais quand vous voyez ce qui se passe au niveau de leurs partisans, et qui est très amplifié par les réseaux sociaux, vous êtes convaincu du contraire", a dit la présidente du Cosef, qui compte "trouver les moyens" d’engager la médiation, en qualité de "femme" et de responsable d’Institution.
En attendant qu’une solution soit trouvée, Seynabou Mbaye a souhaité aussi que le président Faye, détenteur de la "légalité" et son Premier ministre, détenteur de la "légitimité populaire", puissent exercer leurs fonctions dans "le respect de la loi et de la Constitution". Elle les a enfin rappelés qu’ils ont "le devoir d’être attentifs à la charge de l’espérance du peuple qui pèse sur leurs épaules".