Depuis l'annonce du décret annulant la convocation du corps électoral pour l'élection présidentielle du 25 février, l'économie sénégalaise connaît un ralentissement significatif, accentué par les récentes manifestations qui ont entraîné la mort de trois jeunes.
Les grandes organisations du secteur privé, dont la Cciad, la Cnp, le Mdes, l'Unacois Jappo, l'Unacois Yessal, le Ges, le Cdes, le Cnes et le Cis, se sont réunies pour discuter de la situation politique et sociale tendue. Elles ont émis des inquiétudes quant aux implications de cette crise sur l'activité économique et ont appelé les acteurs politiques à en tenir compte.
L'impact de la crise politique se fait ressentir au quotidien, avec une activité économique en perte de vitalité. Les marchés, tels que ceux de Castor et de Tilène, témoignent d'une baisse significative de l'affluence. Les commerçants ont affirmé que la peur qui règne, entraînant une prudence accrue chez les consommateurs.
Le transport en commun est également touché. Les rues de Dakar sont moins fréquentées, les habitants restant chez eux par mesure de prudence. Les manifestations et les dispositifs sécuritaires renforcent cette atmosphère de tension, affectant le commerce et le transport public, notamment Dakar Dem Dikk (DDD).
Même l'économie digitale n'est pas épargnée, avec des coupures de connexion Internet mobile. Les consommateurs, dont beaucoup dépendent du digital pour leurs activités, ont exprimé leur mécontentement face à cette restriction. Les organisations du secteur privé ont dénoncé dans un communiqué le fait que l'économie nationale, en particulier le secteur informel, est fortement touchée, avec des conséquences sur les transactions financières et les libertés numériques.
Face à cette situation préoccupante, les acteurs privés appellent à la résolution rapide de la crise politique pour éviter un impact négatif continu sur l'activité économique du Sénégal, note Sud Quotidien.
Les grandes organisations du secteur privé, dont la Cciad, la Cnp, le Mdes, l'Unacois Jappo, l'Unacois Yessal, le Ges, le Cdes, le Cnes et le Cis, se sont réunies pour discuter de la situation politique et sociale tendue. Elles ont émis des inquiétudes quant aux implications de cette crise sur l'activité économique et ont appelé les acteurs politiques à en tenir compte.
L'impact de la crise politique se fait ressentir au quotidien, avec une activité économique en perte de vitalité. Les marchés, tels que ceux de Castor et de Tilène, témoignent d'une baisse significative de l'affluence. Les commerçants ont affirmé que la peur qui règne, entraînant une prudence accrue chez les consommateurs.
Le transport en commun est également touché. Les rues de Dakar sont moins fréquentées, les habitants restant chez eux par mesure de prudence. Les manifestations et les dispositifs sécuritaires renforcent cette atmosphère de tension, affectant le commerce et le transport public, notamment Dakar Dem Dikk (DDD).
Même l'économie digitale n'est pas épargnée, avec des coupures de connexion Internet mobile. Les consommateurs, dont beaucoup dépendent du digital pour leurs activités, ont exprimé leur mécontentement face à cette restriction. Les organisations du secteur privé ont dénoncé dans un communiqué le fait que l'économie nationale, en particulier le secteur informel, est fortement touchée, avec des conséquences sur les transactions financières et les libertés numériques.
Face à cette situation préoccupante, les acteurs privés appellent à la résolution rapide de la crise politique pour éviter un impact négatif continu sur l'activité économique du Sénégal, note Sud Quotidien.