La Commission de l’UEMOA projette une croissance économique de 6,7 % en 2025, après 6,3 % en 2024, selon la Note de conjoncture économique régionale n°68publiée en septembre 2025. La progression est portée par la vigueur des secteurs agricoles, industriels et extractifs. L’exploitation accrue des ressources naturelles, notamment les hydrocarbures, constitue l’un des principaux leviers de croissance, indique le rapport.
La production agricole vivrière a augmenté de 6,1 %, tandis que celle d’exportation a légèrement reculé de 0,5 %. En Côte d’Ivoire, au Burkina Faso et au Bénin, la performance du secteur primaire s’est accompagnée d’une reprise de la production industrielle, soutenue par une meilleure disponibilité énergétique, indique le document exploité par PressAfrik.
Malgré cette dynamique, la Commission met en garde contre plusieurs risques susceptibles de fragiliser la tendance à savoir « les chocs climatiques, la volatilité des cours des matières premières, la crise sécuritaire persistante dans certains États et les tensions commerciales mondiales. » Le rapport souligne que « la situation socio-politique dans certains États membres demeure un facteur de risque pour la stabilité régionale ».
L’environnement international reste contrasté. Selon le FMI, la croissance mondiale atteindrait 3 % en 2025, tandis que celle de l’Afrique subsaharienne s’établirait à 4 %. Pour 2025, la croissance par pays révèle des disparités. Le Sénégal, avec un taux estimé à 6,9 %, reste dans la moyenne régionale, tandis que la Côte d’Ivoire maintient un rythme supérieur à 7 %. Le Bénin, le Burkina Faso et le Niger enregistrent des progressions comprises entre 5 % et 6 %, traduisant la robustesse des économies de la zone.
Malgré des perspectives globalement bien orientées, la Commission de l’UEMOA insiste sur « la nécessité d’accélérer les réformes structurelles et la diversification économique. » Le rapport conclut que « la résilience observée repose sur une croissance encore fragile », invitant les États membres à renforcer leurs cadres macroéconomiques pour consolider la reprise.
La production agricole vivrière a augmenté de 6,1 %, tandis que celle d’exportation a légèrement reculé de 0,5 %. En Côte d’Ivoire, au Burkina Faso et au Bénin, la performance du secteur primaire s’est accompagnée d’une reprise de la production industrielle, soutenue par une meilleure disponibilité énergétique, indique le document exploité par PressAfrik.
Malgré cette dynamique, la Commission met en garde contre plusieurs risques susceptibles de fragiliser la tendance à savoir « les chocs climatiques, la volatilité des cours des matières premières, la crise sécuritaire persistante dans certains États et les tensions commerciales mondiales. » Le rapport souligne que « la situation socio-politique dans certains États membres demeure un facteur de risque pour la stabilité régionale ».
L’environnement international reste contrasté. Selon le FMI, la croissance mondiale atteindrait 3 % en 2025, tandis que celle de l’Afrique subsaharienne s’établirait à 4 %. Pour 2025, la croissance par pays révèle des disparités. Le Sénégal, avec un taux estimé à 6,9 %, reste dans la moyenne régionale, tandis que la Côte d’Ivoire maintient un rythme supérieur à 7 %. Le Bénin, le Burkina Faso et le Niger enregistrent des progressions comprises entre 5 % et 6 %, traduisant la robustesse des économies de la zone.
Malgré des perspectives globalement bien orientées, la Commission de l’UEMOA insiste sur « la nécessité d’accélérer les réformes structurelles et la diversification économique. » Le rapport conclut que « la résilience observée repose sur une croissance encore fragile », invitant les États membres à renforcer leurs cadres macroéconomiques pour consolider la reprise.