Le nommé Cheikh Ndiaye, 46 ans, a été déféré au parquet, lundi 29 décembre 2025 par la Division de la Cybersécurité (DSC). Poursuivi pour « provocation à un crime et diffusion de contenus contraires aux bonnes mœurs », le mis en cause a exprimé ses regrets lors de son audition.
L'interpellation de Cheikh Ndiaye, carreleur de profession, fait suite à la circulation d'une vidéo virale sur les réseaux sociaux. Dans cette séquence, l'individu apparaissait un couteau à la main et sur le corps, tout en proférant des insultes et des menaces jugées graves par les autorités.
À l'issue de son enquête, la DSC a retenu plusieurs chefs d'accusation contre lui notamment, « Provocation à un crime ou un délit, apologie de crime, diffusion de contenus électroniques contraires aux bonnes mœurs ».
Pour sa défense, Cheikh Ndiaye a soutenu que la vidéo incriminée n'était pas récente et daterait de cinq à six mois. Il a tenté de justifier ses propos en affirmant avoir agi en réaction à des menaces de mort qu'il aurait reçues après avoir tenu des discours hostiles aux étrangers vivant au Sénégal. Toutefois, les enquêteurs ont relevé son incapacité à fournir la moindre preuve technique ou trace de ces supposées menaces.
Face aux éléments de l'enquête, le mis en cause a finalement admis que ses propos étaient « excessifs ». Avant son transfert au parquet, il a formulé des regrets et présenté ses excuses à l'opinion publique, sollicitant la clémence de la justice.
L'interpellation de Cheikh Ndiaye, carreleur de profession, fait suite à la circulation d'une vidéo virale sur les réseaux sociaux. Dans cette séquence, l'individu apparaissait un couteau à la main et sur le corps, tout en proférant des insultes et des menaces jugées graves par les autorités.
À l'issue de son enquête, la DSC a retenu plusieurs chefs d'accusation contre lui notamment, « Provocation à un crime ou un délit, apologie de crime, diffusion de contenus électroniques contraires aux bonnes mœurs ».
Pour sa défense, Cheikh Ndiaye a soutenu que la vidéo incriminée n'était pas récente et daterait de cinq à six mois. Il a tenté de justifier ses propos en affirmant avoir agi en réaction à des menaces de mort qu'il aurait reçues après avoir tenu des discours hostiles aux étrangers vivant au Sénégal. Toutefois, les enquêteurs ont relevé son incapacité à fournir la moindre preuve technique ou trace de ces supposées menaces.
Face aux éléments de l'enquête, le mis en cause a finalement admis que ses propos étaient « excessifs ». Avant son transfert au parquet, il a formulé des regrets et présenté ses excuses à l'opinion publique, sollicitant la clémence de la justice.