Il s’agit de pas moins de 896 actions détenues par Dp World Sénégal Ltd dont le représentant permanent en conseil d’administration est Olivier Scwartz, les 100 parts de la société national du Port Autonome de Dakar (PAD) et les nommés Joost Kruijning, Mohammad Ali Mohammad Ahmad, Guido Heremans qui détiennent selon le journal "l'observateur" chacun une part à DP World où sur les 694 milliards reprochés à Karim Wade, 400 milliards y ont été cités par le substitut du procureur spécial, Antoine Félix Diome le 16 avril dernier en mettant « à nu », la « véritable ingénierie financière frauduleuse reposant essentiellement sur un système de déclinaison de prête-nom simple » en plus d’ « un deuxième système de prête-nom opérationnel qui prenait une part active dans la réalisation de l’enrichissement illicite » avec des « secteurs clé de l’économie nationale détenus par des sociétés offshore basées principalement dans trois pays : le Panama, les Iles Vierges Britanniques et le Luxembourg découvertes dans les registres de ces sociétés offshore, de véritables sociétés à tiroir » de Karim Wade.
DP World Dakar : Nafi Ngom Keïta dévoile les “noms des actionnaires » et blanchit Karim
Grosses révélations dans le dossier Karim Wade. Imputée au célèbre prisonnier de Rebeuss qui n’est autre que le fils du président sortant Wade détenu depuis le 17 avril denier dans le cadre de la traque des biens mal acquis par le procureur spécial près de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI), Alioune Ndao, on connait les « noms des actionnaires » de DP World Dakar que donne en mille l’Inspectrice Générale de l’Etat (IGE), Nafi Ngom Keïta qui lave Karim Wade.
Il s’agit de pas moins de 896 actions détenues par Dp World Sénégal Ltd dont le représentant permanent en conseil d’administration est Olivier Scwartz, les 100 parts de la société national du Port Autonome de Dakar (PAD) et les nommés Joost Kruijning, Mohammad Ali Mohammad Ahmad, Guido Heremans qui détiennent selon le journal "l'observateur" chacun une part à DP World où sur les 694 milliards reprochés à Karim Wade, 400 milliards y ont été cités par le substitut du procureur spécial, Antoine Félix Diome le 16 avril dernier en mettant « à nu », la « véritable ingénierie financière frauduleuse reposant essentiellement sur un système de déclinaison de prête-nom simple » en plus d’ « un deuxième système de prête-nom opérationnel qui prenait une part active dans la réalisation de l’enrichissement illicite » avec des « secteurs clé de l’économie nationale détenus par des sociétés offshore basées principalement dans trois pays : le Panama, les Iles Vierges Britanniques et le Luxembourg découvertes dans les registres de ces sociétés offshore, de véritables sociétés à tiroir » de Karim Wade.
Dié BA
Lundi 26 Aout 2013 11:59
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