Le Président de la République de Guinée-Bissau, a marqué de sa présence à l'édition 2025 du Forum Investir au Sénégal à Dakar. Saluant l'événement comme une "plateforme stratégique’’, Umaro Sissoco Embalo, a plaidé en faveur d'un partenariat pour le développement fondé sur la technologie et les ressources humaines.
Dès son arrivée, le Président Embalo a souligné le plaisir d'être à Dakar et a tenu à mettre en lumière les liens profonds et indissociables qui unissent la Guinée-Bissau et le Sénégal. Selon le dirigeant bissau-guinéen, les deux nations partagent « bien plus qu'une frontière ». Il a insisté sur un « même destin », cimenté par des liens de parenté, des relations ancestrales, un bon voisinage, des échanges commerciaux séculaires, ainsi qu'un héritage historique, culturel et linguistique commun. « Toutes les sources de développement au Sénégal auront naturellement des répercussions bénéfiques en Guinée-Bissau, et vice versa », a-t-il déclaré, se félicitant au passage de la stratégie sénégalaise visant à devenir un Hub Technologique Régional.
Abordant le thème de l'avenir du continent, le Président Embalo a martelé que « l'avenir de l'Afrique se construira certes sur l'infrastructure physique, mais aussi et surtout sur le capital humain, la science, la technologie, l'innovation et la créativité ».
Il a identifié la révolution numérique, le smart farming, l'agro-transformation, les énergies renouvelables, la santé connectée et l'intelligence artificielle comme les « moteurs de la croissance et du développement » à privilégier dans les deux pays. Le Président a d'ailleurs rappelé l'engagement de la Guinée-Bissau sur cette voie, notamment à travers la digitalisation de ses services publics et la création de zones économiques spéciales.
Considérant l'Afrique de l'Ouest comme un « écosystème intégré » riche en ressources et doté d'une population jeune, dynamique et talentueuse, Umaro Sissoco Embalo a appelé à un type d'investissement qui dépasse la simple performance financière. « Nous recherchons des investissements capables d'avoir un impact sur la vie des citoyens, notamment celle des jeunes, des femmes et de nos populations des zones rurales », a-t-il affirmé, en encourageant les initiatives citoyennes et les nombreuses start-up émergentes.
Le Président de la Guinée-Bissau a fini son discours en plaidant pour l'établissement d'un modèle de partenariat qui « intègre les compétences locales et favorise le transfert de la technologie ».
Il a rappelé la responsabilité des gouvernements de promouvoir une croissance « socialement juste, écologiquement soutenable » qui crée des emplois et contribue à l'éradication de la pauvreté. Convaincu que le forum mènera à des « échanges fructueux » et des « partenariats équitablement profitables et durables ». Il a appelé les gouvernements, les partenaires internationaux, les institutions financières et les entreprises à un « contrat de confiance renouvelé ». « Ensemble, ouvrons de nouvelles perspectives (…), à la promotion de la justice sociale, de la solidarité et de la prospérité partagée », a-t-il conclu.
Dès son arrivée, le Président Embalo a souligné le plaisir d'être à Dakar et a tenu à mettre en lumière les liens profonds et indissociables qui unissent la Guinée-Bissau et le Sénégal. Selon le dirigeant bissau-guinéen, les deux nations partagent « bien plus qu'une frontière ». Il a insisté sur un « même destin », cimenté par des liens de parenté, des relations ancestrales, un bon voisinage, des échanges commerciaux séculaires, ainsi qu'un héritage historique, culturel et linguistique commun. « Toutes les sources de développement au Sénégal auront naturellement des répercussions bénéfiques en Guinée-Bissau, et vice versa », a-t-il déclaré, se félicitant au passage de la stratégie sénégalaise visant à devenir un Hub Technologique Régional.
Abordant le thème de l'avenir du continent, le Président Embalo a martelé que « l'avenir de l'Afrique se construira certes sur l'infrastructure physique, mais aussi et surtout sur le capital humain, la science, la technologie, l'innovation et la créativité ».
Il a identifié la révolution numérique, le smart farming, l'agro-transformation, les énergies renouvelables, la santé connectée et l'intelligence artificielle comme les « moteurs de la croissance et du développement » à privilégier dans les deux pays. Le Président a d'ailleurs rappelé l'engagement de la Guinée-Bissau sur cette voie, notamment à travers la digitalisation de ses services publics et la création de zones économiques spéciales.
Considérant l'Afrique de l'Ouest comme un « écosystème intégré » riche en ressources et doté d'une population jeune, dynamique et talentueuse, Umaro Sissoco Embalo a appelé à un type d'investissement qui dépasse la simple performance financière. « Nous recherchons des investissements capables d'avoir un impact sur la vie des citoyens, notamment celle des jeunes, des femmes et de nos populations des zones rurales », a-t-il affirmé, en encourageant les initiatives citoyennes et les nombreuses start-up émergentes.
Le Président de la Guinée-Bissau a fini son discours en plaidant pour l'établissement d'un modèle de partenariat qui « intègre les compétences locales et favorise le transfert de la technologie ».
Il a rappelé la responsabilité des gouvernements de promouvoir une croissance « socialement juste, écologiquement soutenable » qui crée des emplois et contribue à l'éradication de la pauvreté. Convaincu que le forum mènera à des « échanges fructueux » et des « partenariats équitablement profitables et durables ». Il a appelé les gouvernements, les partenaires internationaux, les institutions financières et les entreprises à un « contrat de confiance renouvelé ». « Ensemble, ouvrons de nouvelles perspectives (…), à la promotion de la justice sociale, de la solidarité et de la prospérité partagée », a-t-il conclu.