Le voile est levé sur le mystère qui entourait l’origine des ossements humains découverts le 16 mars à Ouest-foire, quartier de Dakar, dans un camion de ramassage d’ordure qui sillonnait les rues.
Selon les conclusions rendues par les médecins, il n’y aucun doute qu’il s’agit effectivement d’ossements humains. Qui, chose curieuse, auraient été récupérés dans un cimetière en France par un ostéopathe sénégalais, qui les auraient jalousement gardés sans sa villa, rapporte L’Observateur.
Ces conclusions vont donner de nouvelles tournures à l’enquête, menée par la Gendarmerie de la foire. Plusieurs questions restaient alors sans réponse pour les enquêteurs, notamment si ces ossements sont le fruit d’un homicide volontaires.
Les recoupements effectués ont permis de suspecter une ressortissante française dont le défunt mari, un Sénégalais, est ostéopathe de profession. Entendue, la Française ne va faire aucune opposition, reconnaissant être celle qui a enfoui ces ossements humains dans un emballage posé devant chez elle, le jour de faits.
Avant de donner sa version des faits : « Mon mari était ostéopathe de profession. C’est lui qui avait ramené ces ossements à la maison, certainement pour les besoins de ses activités professionnelles. Il les a récupérés dans un cimetière en France ».
Elle poursuit : « il les avaient jalousement gardés à la maison et j’ignorais leur existence. Il est mort, il y a 6 ans et j’ai découvert dernièrement ces ossements en rangeant mes bagages, puisque je m’apprêtais à retourner en France. C’est ainsi que je les assemblés et mis à la poubelle ».
Une déposition confirmée par le père du défunt ostéopathe. Avisé, le Procureur de la République de Dakar, a cependant ordonné la poursuite de l’enquête.
Selon les conclusions rendues par les médecins, il n’y aucun doute qu’il s’agit effectivement d’ossements humains. Qui, chose curieuse, auraient été récupérés dans un cimetière en France par un ostéopathe sénégalais, qui les auraient jalousement gardés sans sa villa, rapporte L’Observateur.
Ces conclusions vont donner de nouvelles tournures à l’enquête, menée par la Gendarmerie de la foire. Plusieurs questions restaient alors sans réponse pour les enquêteurs, notamment si ces ossements sont le fruit d’un homicide volontaires.
Les recoupements effectués ont permis de suspecter une ressortissante française dont le défunt mari, un Sénégalais, est ostéopathe de profession. Entendue, la Française ne va faire aucune opposition, reconnaissant être celle qui a enfoui ces ossements humains dans un emballage posé devant chez elle, le jour de faits.
Avant de donner sa version des faits : « Mon mari était ostéopathe de profession. C’est lui qui avait ramené ces ossements à la maison, certainement pour les besoins de ses activités professionnelles. Il les a récupérés dans un cimetière en France ».
Elle poursuit : « il les avaient jalousement gardés à la maison et j’ignorais leur existence. Il est mort, il y a 6 ans et j’ai découvert dernièrement ces ossements en rangeant mes bagages, puisque je m’apprêtais à retourner en France. C’est ainsi que je les assemblés et mis à la poubelle ».
Une déposition confirmée par le père du défunt ostéopathe. Avisé, le Procureur de la République de Dakar, a cependant ordonné la poursuite de l’enquête.