Après avoir repoussé leur première conférence de presse, à cause de la police, le mouvement y en a marre qui fait beaucoup de bruits ces temps-ci a rencontré la presse ce jeudi pour dévoiler leur second plan de lutte. Et ce plan comme ils l’avaient promis au soir du 19 mars 2011, consiste à pousser tous les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales pour «bouter le régime en place» hors du pays. Ce plan est baptisé par les membres de ce mouvement « Dass fananal ». Et le slogan est «ma carte, mon arme». Une façon de dire que la meilleure arme pour vaincre le pouvoir, est la carte d’électeur.
La campagne de sensibilisation démarre le 15 avril prochain, et la région de Kaolack aura l’honneur de l’accueillir. Cette campagne sera bouclée le 30 mai à Dakar. Le mouvement y en a marre, pour atteindre les objectifs qu’il s’est fixé, déploiera plusieurs stratégies. La première stratégie consistera à faire des concerts pédagogiques. Cela se fera avec des actions artistiques originales de sensibilisation avec tous les rappeurs du mouvement. Une autre stratégie, dénommée « la urban guerilla poetry et dalu rewmi » consistera à sensibiliser à travers les réseaux de transport urbain. Par la suite, un grand rassemblement se fera devant les préfectures, après des échanges avec les autorités compétentes, au sujet du retard observé dans la délivrance des cartes d’électeurs. D’autres moyens aussi seront utilisés par le mouvement pour arriver à ses fins. Mais c’est un pan de leur stratégie qu’il se refuse à communiquer de peur que les policiers viennent les assaillir une seconde fois.
La campagne de sensibilisation démarre le 15 avril prochain, et la région de Kaolack aura l’honneur de l’accueillir. Cette campagne sera bouclée le 30 mai à Dakar. Le mouvement y en a marre, pour atteindre les objectifs qu’il s’est fixé, déploiera plusieurs stratégies. La première stratégie consistera à faire des concerts pédagogiques. Cela se fera avec des actions artistiques originales de sensibilisation avec tous les rappeurs du mouvement. Une autre stratégie, dénommée « la urban guerilla poetry et dalu rewmi » consistera à sensibiliser à travers les réseaux de transport urbain. Par la suite, un grand rassemblement se fera devant les préfectures, après des échanges avec les autorités compétentes, au sujet du retard observé dans la délivrance des cartes d’électeurs. D’autres moyens aussi seront utilisés par le mouvement pour arriver à ses fins. Mais c’est un pan de leur stratégie qu’il se refuse à communiquer de peur que les policiers viennent les assaillir une seconde fois.