La machine judiciaire lancée depuis contre le fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade, Karim Wade n’est pas prêt de s’estomper. Tel un rouleau compresseur déroulé pour broyer Karim Wade et ses biens. Ragaillardi par la décision de la Cour suprême les avocats de l’Etat comptent passer à la vitesse supérieure pour mettre la main sur tous les biens de Karim Wade et de Mamadou Pouye.
« Nous allons poursuivre l’exécution des dispositions civiles de l’arrêt de la cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) parce que les condamnations civiles sont définitives », a annoncé l’ancien bâtonnier Me Yérim Thiam. Parce que disent-ils, «les biens mal acquis doivent revenir à l’Etat du Sénégal ».
Très remontant contre l’avis du groupe de Travail des Nations Unies, les avocats de l’Etat annoncent qu’ils se rendront à la fin du mois à New-York pour cracher leurs vérités au groupe de Travail « Le Sénégal sera à la fin du mois aux Nations Unies et on nous entendra parce que les choses n’ont pas été faites dans les règles de l’art », a souligné Me Moussa Felix Sow.
S’agissant du rabat d’arrêt soulevé par les conseils de Karim Wade et compagnie, les avocats de l’Etat se disent prêts à retourner au prétoire pour défendre à nouveau les intérêts du Sénégal.
« Nous allons poursuivre l’exécution des dispositions civiles de l’arrêt de la cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) parce que les condamnations civiles sont définitives », a annoncé l’ancien bâtonnier Me Yérim Thiam. Parce que disent-ils, «les biens mal acquis doivent revenir à l’Etat du Sénégal ».
Très remontant contre l’avis du groupe de Travail des Nations Unies, les avocats de l’Etat annoncent qu’ils se rendront à la fin du mois à New-York pour cracher leurs vérités au groupe de Travail « Le Sénégal sera à la fin du mois aux Nations Unies et on nous entendra parce que les choses n’ont pas été faites dans les règles de l’art », a souligné Me Moussa Felix Sow.
S’agissant du rabat d’arrêt soulevé par les conseils de Karim Wade et compagnie, les avocats de l’Etat se disent prêts à retourner au prétoire pour défendre à nouveau les intérêts du Sénégal.