Il y a un impact économique réel causé par la congestion du Port autonome de Dakar qui n’a qu’une seule porte d’entrée et de sortie. Mais cet impact ne concerne pas les activités de DP World Dakar, qui traite 900 à 1000 camions tous les jours. Ce qui doit nécessiter des mesures drastiques a déclaré Alassane Diop, Dg de l’entreprise.
«Nous faisons entre 900 et 1000 camions tous les jours », a-t-il dit, expliquant que Dakar est le seul port de l’Afrique qui peut se targuer d’arriver à un tel résultat, d’autant plus que grâce aux investissements consentis par cette société, le temps pour prendre en charge un camion entre le moment où il franchit le terminal et celui de sa sortie prend 26 minutes au maximum.
Mais, cette prouesse se ressent sur la circulation, du fait de l’enclavement du port : «Le port de Dakar est dans un endroit enclavé où il n’y a qu’une seule entrée et une seule sortie. Ce qui implique qu’il y ait une congestion au niveau de la circulation et non pas sur l’activité elle-même», a-t-il indiqué.
A ces facteurs, s’ajoute la présence de produits dans des structures autres que celle gérée par DP World pouvant impacter sur l’environnement. Ce qui pousse M. Diop a affirmé qu’il faut «faire avec l’existant », tout en mettant en œuvre une solution «pérenne » qui constitue à la délocalisation du Port de Dakar.
«Il faut faire avec l’existant jusqu’à ce des solutions pérennes soient trouvées. Et la solution, la seule, est le transfert des activités du port de Dakar, les sortir de la ville pour les emmener dans un endroit plus opérationnel et rendre cette partie de la ville à la ville elle-même pour que des activités citadines puissent y être organisées. C’est pourquoi, les études sont pratiquement finalisées, pour préparer la construction du Port du Futur», à Ndayane à quelques 45 kilomètres de Dakar.
Avant d’ajouter, qu’avec un tirant d’eau de 18 mètres de profondeur contre les 13 mètres de rigueur au port de Dakar, cette infrastructure pourra accueillir «les plus gros navire du monde ». Les travaux, informe-t-il, vont démarrer en 2018 et la première phase sera opérationnelle en 2021.
«Nous faisons entre 900 et 1000 camions tous les jours », a-t-il dit, expliquant que Dakar est le seul port de l’Afrique qui peut se targuer d’arriver à un tel résultat, d’autant plus que grâce aux investissements consentis par cette société, le temps pour prendre en charge un camion entre le moment où il franchit le terminal et celui de sa sortie prend 26 minutes au maximum.
Mais, cette prouesse se ressent sur la circulation, du fait de l’enclavement du port : «Le port de Dakar est dans un endroit enclavé où il n’y a qu’une seule entrée et une seule sortie. Ce qui implique qu’il y ait une congestion au niveau de la circulation et non pas sur l’activité elle-même», a-t-il indiqué.
A ces facteurs, s’ajoute la présence de produits dans des structures autres que celle gérée par DP World pouvant impacter sur l’environnement. Ce qui pousse M. Diop a affirmé qu’il faut «faire avec l’existant », tout en mettant en œuvre une solution «pérenne » qui constitue à la délocalisation du Port de Dakar.
«Il faut faire avec l’existant jusqu’à ce des solutions pérennes soient trouvées. Et la solution, la seule, est le transfert des activités du port de Dakar, les sortir de la ville pour les emmener dans un endroit plus opérationnel et rendre cette partie de la ville à la ville elle-même pour que des activités citadines puissent y être organisées. C’est pourquoi, les études sont pratiquement finalisées, pour préparer la construction du Port du Futur», à Ndayane à quelques 45 kilomètres de Dakar.
Avant d’ajouter, qu’avec un tirant d’eau de 18 mètres de profondeur contre les 13 mètres de rigueur au port de Dakar, cette infrastructure pourra accueillir «les plus gros navire du monde ». Les travaux, informe-t-il, vont démarrer en 2018 et la première phase sera opérationnelle en 2021.