«La Mauritanie et le Sénégal reconnaissent les nombreux avantages que le projet gazier Tortue et les énormes découvertes de gaz vont leur apporter sur le long terme. Les exportations de GNL vont permettre à ces deux pays de se positionner en tant que fournisseurs d’énergie à part entière, sur le plan international pour plusieurs années et de générer des revenus qui pourront être investis dans le développement d’autres secteurs », a-t-il déclaré dans un entretien paru dans le guide d’évènement du premier sommet international sur le bassin sédimentaire MSGBC (Mauritanie- Sénégal- Gambia- Bissau- Conakry).
Poursuivant, M. Maxted vante la qualité de ce champ gazier situé entre le Sénégal et la Mauritanie et dont les réserves sont estimées à quelques 450 milliards de M3. Selon lui, ce gaz accessible et de très haute qualité «peut être en outre exploité rapidement et le gaz vendu sur le marché international GNL, dès le début de la production», rapporte l’APS.
Mais, a-t-il indiqué, la production qui ne commencera que dans quelques années nécessitent des investissements considérables des deux pays mais aussi de son entreprise, d’où la nécessité d’ «une collaboration suivie».
Poursuivant, M. Maxted vante la qualité de ce champ gazier situé entre le Sénégal et la Mauritanie et dont les réserves sont estimées à quelques 450 milliards de M3. Selon lui, ce gaz accessible et de très haute qualité «peut être en outre exploité rapidement et le gaz vendu sur le marché international GNL, dès le début de la production», rapporte l’APS.
Mais, a-t-il indiqué, la production qui ne commencera que dans quelques années nécessitent des investissements considérables des deux pays mais aussi de son entreprise, d’où la nécessité d’ «une collaboration suivie».