Le projet de loi soumis aux membres du gouvernement prévoit une amnistie pour les actes commis entre les deux crises de 2002 et 2009. Ces actes doivent, bien sûr, être liés aux événements politiques. Le texte exclut les crimes de sang ce qui exclurait Marc Ravalomanana puisque l’ancien président a été condamné pour la mort de manifestants durant la crise de 2009.
Le texte doit faire des va-et-vient entre différentes institutions et entités. Son adoption par le Parlement dans une semaine semble aujourd’hui difficile.
Les événements ne prennent pas la tournure escomptée par les médiateurs de la SADC, qui non seulement demandaient que la loi d’amnistie soit finalisée avant fin février, mais aussi que le texte facilite le retour de l’ancien président.
Mercredi 22 février, les membres du bureau de liaison de la SADC, récemment installé à Antananarivo, ont procédé à des échanges avec plusieurs entités politiques mais la marge de manœuvre des médiateurs est limitée. Les modalités des mesures d’amnistie dépendront de la volonté des responsables politiques : plusieurs ministres ou parlementaires auront besoin de cette loi pour se présenter aux prochaines élections.
Source: RFI
Le texte doit faire des va-et-vient entre différentes institutions et entités. Son adoption par le Parlement dans une semaine semble aujourd’hui difficile.
Les événements ne prennent pas la tournure escomptée par les médiateurs de la SADC, qui non seulement demandaient que la loi d’amnistie soit finalisée avant fin février, mais aussi que le texte facilite le retour de l’ancien président.
Mercredi 22 février, les membres du bureau de liaison de la SADC, récemment installé à Antananarivo, ont procédé à des échanges avec plusieurs entités politiques mais la marge de manœuvre des médiateurs est limitée. Les modalités des mesures d’amnistie dépendront de la volonté des responsables politiques : plusieurs ministres ou parlementaires auront besoin de cette loi pour se présenter aux prochaines élections.
Source: RFI