En effet selon ce rapport, l’Université Cheikh Anta Diop est prise en tenaille par deux problèmes majeurs liés d’une part, au fait que « l’Etat ne prend pas à bras le corps les questions essentielles relatives à la mise en place des moyens suffisants pour régler la question des bourses et aides des étudiants et le paiement à temps des sommes dues aux enseignants … ». Le même rapport souligne qu’en dépit de tout cela des efforts sont enregistrés en ce qui concerne les voyages d’études. « Cette année, indique le document les billets pour les voyages d’études et les perdiem ont été disponibles dès la première quinzaine du mois d’août ». Le médiateur Bouba Diop relève également dans son rapport que « le mouvement étudiant est inorganisé et n’a pas tout l’éclairage nécessaire pour bien conduire ses luttes ».
En plus, la réaction des enseignants chercheurs et le Pats s’est matérialisée par la grève « de sorte que les acteurs de la communauté se regardent en ennemies ». De ce fait, lit-on dans le rapport « la violence qui se développe est une violence entre les membres de la communauté et elle est renforcée par celle de la force publique ».
Pour remédier à cela le médiateur de l’Ucad a souligné la nécessité d’appliquer les anciennes recommandations relatives à la communication, au service social et à l’intégration africaine. De même, il a formulé des recommandations en direction du Coud et la direction des bourses pour qu’il y ait plus de transparence dans l’attribution des lits et la distribution des bourses sociales. La médiature exhorte les autorités à bancariser si possible les bourses pour rompre avec « cette méthode archaïque de paiement par guichet avec son lot de conséquences », mais également communiquer sur les critères d’attribution des bourses ainsi que les conditions de leur perte …
En plus, la réaction des enseignants chercheurs et le Pats s’est matérialisée par la grève « de sorte que les acteurs de la communauté se regardent en ennemies ». De ce fait, lit-on dans le rapport « la violence qui se développe est une violence entre les membres de la communauté et elle est renforcée par celle de la force publique ».
Pour remédier à cela le médiateur de l’Ucad a souligné la nécessité d’appliquer les anciennes recommandations relatives à la communication, au service social et à l’intégration africaine. De même, il a formulé des recommandations en direction du Coud et la direction des bourses pour qu’il y ait plus de transparence dans l’attribution des lits et la distribution des bourses sociales. La médiature exhorte les autorités à bancariser si possible les bourses pour rompre avec « cette méthode archaïque de paiement par guichet avec son lot de conséquences », mais également communiquer sur les critères d’attribution des bourses ainsi que les conditions de leur perte …