Face à la montée du « cyberharcèlement, de l’extorsion de fonds, de la vente des données, de la publication de données sensibles, la Commission de Protection des Données Personnelles (CDP) a organisé ce mardi 1er juillet, une session de formation à l’intention des journalistes, influenceurs, porteurs de voix, artistes musiciens. Cette formation, ciblant des leaders d’opinions qui sont des « relais extrêmes, importants», entre dans le cadre de sa mission de sensibilisation et de formation des citoyens sénégalais pour la protection des données personnelles.
« A l’ère de la révolution numérique, il y a une utilisation toute azimute des données personnelles. Ce qui cause beaucoup de dommage à des personnes, surtout les jeunes. Et ce qu’il faut faire, c’est essayer de sensibiliser les Sénégalais pour leurs dires simplement que la donnée personnelle, elle est importante. C’est un droit fondamental sacré », a souligné Ousmane Thiongane, président de la Commission de protection de données personnelles (CDP).
Selon M. Thiongane, « ce droit à la protection de données personnelles, c’est également la protection de sa vie privée et de sa dignité ». Car d’après lui, « dans cette ère du numérique, il y a une violation régulière, journalière, quotidienne de ces données ». Ajoutant par ailleurs que la Commission reçoit en ce sens, énormément de plaintes et des signalements. « On reçoit souvent des gens qui viennent nous dire, on a récupéré mes vidéos, on a récupéré mes photos, et on m’a demandé de faire ceci parce qu’on a récupéré ma page Facebook, mon compte Twitter… D’autres également sur d’autres échelles plus importantes avec ce qu’on appelle, les Gafams, c’est-à-dire Google, Facebook, Microsoft, méta et autres ».
D’après le président de la Commission de protection des données personnelles, les jeunes qui sont les plus exposés ne prennent pas l’ampleur du danger d’où la nécessité de les sensibiliser. « Par rapport à tous ces dangers, nos jeunes souvent devant leurs smartphones, devant leurs machines, n’ont pas cette responsabilité, cette éthique en ligne. Il est important pour nous de les sensibiliser. C’est pourquoi nous allons dans les établissements scolaires pour former ces jeunes de les sensibiliser sur ce qu’on appelle l’éducation en numérique. Nous faisons également des formations à des agents de l’administration. Mais cela est largement insuffisant », a-t-il dit.
Pour atteindre le plus de personnes et pour mieux faire passer l’information, « il faut trouver des partenaires, des relais. C’est pourquoi nous avons organisé aujourd’hui cette session en utilisant ces artistes, ces journalistes, ces musiciens, ces hommes de l’art pour ne pas dire tout simplement ces leaders d’opinions pour qu’ils nous servent de relais, d’ambassadeurs, de volontaires dans ce travail de formation et de sensibilisation », a déclaré M. Thiongane.
Selon le président, Thiongane, « les statistiques montrent qu’il y a une hausse considérable des violations des données personnelles. Il s’agit des signalements, qui sont des plaintes que des Sénégalais déposent au niveau de nos services comme il le dépose également au niveau de la cybersécurité. Donc ce sont des signalements et des plaintes qui sont à croissance considérable. Le nombre, chaque trimestre, nous constatons que cela va crescendo et cela se comprend, parce que tout simplement l’essentielle des Sénégalais fréquentent les plateformes numériques, mais souvent, ils ne sont pas très outillés ni très sensibilisés par rapport au danger qui les menace ».
« A l’ère de la révolution numérique, il y a une utilisation toute azimute des données personnelles. Ce qui cause beaucoup de dommage à des personnes, surtout les jeunes. Et ce qu’il faut faire, c’est essayer de sensibiliser les Sénégalais pour leurs dires simplement que la donnée personnelle, elle est importante. C’est un droit fondamental sacré », a souligné Ousmane Thiongane, président de la Commission de protection de données personnelles (CDP).
Selon M. Thiongane, « ce droit à la protection de données personnelles, c’est également la protection de sa vie privée et de sa dignité ». Car d’après lui, « dans cette ère du numérique, il y a une violation régulière, journalière, quotidienne de ces données ». Ajoutant par ailleurs que la Commission reçoit en ce sens, énormément de plaintes et des signalements. « On reçoit souvent des gens qui viennent nous dire, on a récupéré mes vidéos, on a récupéré mes photos, et on m’a demandé de faire ceci parce qu’on a récupéré ma page Facebook, mon compte Twitter… D’autres également sur d’autres échelles plus importantes avec ce qu’on appelle, les Gafams, c’est-à-dire Google, Facebook, Microsoft, méta et autres ».
D’après le président de la Commission de protection des données personnelles, les jeunes qui sont les plus exposés ne prennent pas l’ampleur du danger d’où la nécessité de les sensibiliser. « Par rapport à tous ces dangers, nos jeunes souvent devant leurs smartphones, devant leurs machines, n’ont pas cette responsabilité, cette éthique en ligne. Il est important pour nous de les sensibiliser. C’est pourquoi nous allons dans les établissements scolaires pour former ces jeunes de les sensibiliser sur ce qu’on appelle l’éducation en numérique. Nous faisons également des formations à des agents de l’administration. Mais cela est largement insuffisant », a-t-il dit.
Pour atteindre le plus de personnes et pour mieux faire passer l’information, « il faut trouver des partenaires, des relais. C’est pourquoi nous avons organisé aujourd’hui cette session en utilisant ces artistes, ces journalistes, ces musiciens, ces hommes de l’art pour ne pas dire tout simplement ces leaders d’opinions pour qu’ils nous servent de relais, d’ambassadeurs, de volontaires dans ce travail de formation et de sensibilisation », a déclaré M. Thiongane.
Selon le président, Thiongane, « les statistiques montrent qu’il y a une hausse considérable des violations des données personnelles. Il s’agit des signalements, qui sont des plaintes que des Sénégalais déposent au niveau de nos services comme il le dépose également au niveau de la cybersécurité. Donc ce sont des signalements et des plaintes qui sont à croissance considérable. Le nombre, chaque trimestre, nous constatons que cela va crescendo et cela se comprend, parce que tout simplement l’essentielle des Sénégalais fréquentent les plateformes numériques, mais souvent, ils ne sont pas très outillés ni très sensibilisés par rapport au danger qui les menace ».