Selon le Procureur Mario Metonou, la justice détient des éléments qui témoignent de l'implication de l'ex-chef d'Etat dans les violences post-électorales enregistrées à Cotonou, la capitale du Benin, les 01 et 02 mai 2019.
Suite à l'échec des deux tentatives d'audition du mis en cause, le Procureur annonce des mesures pour que la justice aille au bout de son action.
Ces mesures devraient permettre à la justice d'auditionner l'ancien président dans le dossier relatif aux violences post-électorales de Cotonou.
Prendre des mesures coercitives pour écouter Boni Yayi constitue une violation du code de procédure pénale estiment les avocats de l'ancien président.