
Il s'agit de l'affaire Ishmael Gama, a confirmé la direction indépendante des enquêtes policières et elle remonte à la fin du mois de mars 2020, au cours de la première semaine de confinement en Afrique du Sud, l'un des plus stricts au monde à l'époque.
Le jeune homme, rapporte la police des polices, est « arrêté et agressé » ainsi que trois autres civils par 13 officiers de police et 3 agents de sécurité privée, qui les mènent au commissariat de Lenasia dans la banlieue de Johannesburg, pour infraction aux règles du confinement. Ishmael Gama se plaint de maux de ventre lors d'une ronde de la police dans les cellules. Il meurt dans l'ambulance qui le mène à l'hôpital.
Première enquête sur les violences policières pendant le confinement
Plus de deux ans après les faits, les 16 policiers et agents de sécurité ont donc été arrêtés et ont comparu la semaine dernière. Libérés sous caution, ils devraient être mis en examen au mois d'août.
C'est la première affaire de violences policières commises durant le confinement qui mène à une enquête en Afrique du Sud et les organisations de défense des droits de l'homme s'en félicitent, tout en dénonçant la lenteur des autorités à punir les responsables. Amnesty International a recensé 115 morts en détention en 2020.
Le jeune homme, rapporte la police des polices, est « arrêté et agressé » ainsi que trois autres civils par 13 officiers de police et 3 agents de sécurité privée, qui les mènent au commissariat de Lenasia dans la banlieue de Johannesburg, pour infraction aux règles du confinement. Ishmael Gama se plaint de maux de ventre lors d'une ronde de la police dans les cellules. Il meurt dans l'ambulance qui le mène à l'hôpital.
Première enquête sur les violences policières pendant le confinement
Plus de deux ans après les faits, les 16 policiers et agents de sécurité ont donc été arrêtés et ont comparu la semaine dernière. Libérés sous caution, ils devraient être mis en examen au mois d'août.
C'est la première affaire de violences policières commises durant le confinement qui mène à une enquête en Afrique du Sud et les organisations de défense des droits de l'homme s'en félicitent, tout en dénonçant la lenteur des autorités à punir les responsables. Amnesty International a recensé 115 morts en détention en 2020.