Le président du Mouvement Tekki, Mamadou Lamine Diallo et le député de son parti, Me Ndèye Fatou Touré
Le Mouvement Tekki ne semble pas intéresser par l’appel au dialogue politique du chef de l’Etat, Abdoulaye Wade. Le bureau national de cette formation politique s’en méfie. Selon lui, «la proposition de dialogue de Maître Abdoulaye Wade cache mal une volonté de contourner les assises nationales et prépare une fraude massive aux prochaines élections présidentielles». Les camarades de Mamadou Lamine Diallo leaders de ce parti ont indiqué que «le dialogue national sur les problèmes du Sénégal a eu lieu dans le cadre des Assises nationales et les forces citoyennes et patriotiques de ce pays ont élaboré et signé une Charte de Gouvernance démocratique de notre pays». Ils ont ajouté que «l'enjeu est désormais sa popularisation et son appropriation auprès des populations au Sénégal et dans la Diaspora et partant, sa mise en œuvre pour l'émergence économique et citoyenne». Avant de rappeler : «le Président de la République a été invité à y prendre part. Il a préféré menacer les participants et tourner en dérision le projet».
Le fichier électoral dont le président de la République a estimé qu’il n’y a plus de problème et que les élections l’ont démontré à suffisance, le Mouvement Tekki a, encore, ramé à contre-courant. «L'expérience des dernières élections montre que sa fiabilisation est étroitement liée à celle de l'état civil qu'il convient de numériser dans les meilleurs délais», a-t-il relevé.
Pour ce qui est des droits de l'homme, «les affaires de Talla Sylla, des journalistes Kambel et Karamoko Thioune, Farba Senghor (As et 24 Heures Chrono) ne sont pas encore vidées», ont fait remarquer les camarades de Mamadou Lamine Diallo. Le Mouvement Tekki attend, selon la déclaration, les conclusions de l'enquête de police sur la mort de son premier Coordonnateur National Moussa Ndiaye survenue dans des conditions encore non élucidées le deux septembre 2008.
Le Mouvement Tekki a réaffirmé que «la création d'un poste de vice-président est inopportune, anticonstitutionnelle et inutile et ne saurait intéresser aucun citoyen soucieux de la défense des intérêts nationaux de notre pays».
Le fichier électoral dont le président de la République a estimé qu’il n’y a plus de problème et que les élections l’ont démontré à suffisance, le Mouvement Tekki a, encore, ramé à contre-courant. «L'expérience des dernières élections montre que sa fiabilisation est étroitement liée à celle de l'état civil qu'il convient de numériser dans les meilleurs délais», a-t-il relevé.
Pour ce qui est des droits de l'homme, «les affaires de Talla Sylla, des journalistes Kambel et Karamoko Thioune, Farba Senghor (As et 24 Heures Chrono) ne sont pas encore vidées», ont fait remarquer les camarades de Mamadou Lamine Diallo. Le Mouvement Tekki attend, selon la déclaration, les conclusions de l'enquête de police sur la mort de son premier Coordonnateur National Moussa Ndiaye survenue dans des conditions encore non élucidées le deux septembre 2008.
Le Mouvement Tekki a réaffirmé que «la création d'un poste de vice-président est inopportune, anticonstitutionnelle et inutile et ne saurait intéresser aucun citoyen soucieux de la défense des intérêts nationaux de notre pays».