Le député-maire des Agnam, Farba Ngom, ne compte plus laisser passer certains commentaires qu'il juge tendancieux à son encontre. Il a ainsi décidé d'engager des poursuites judiciaires pour laver son honneur.
Parallèlement à la saisine de la juridiction suprême pour obtenir la mainlevée de son mandat de dépôt, Farba Ngom, par le biais de ses avocats, a déposé deux plaintes, l'une auprès du procureur de la République et l'autre sur la table du commissaire de la Division spéciale de la cybersécurité (Dsc). Les plaintes sont déposées contre le journal Walf Quotidien, pour « diffamation », et l'économiste, Maissa Babou pour « injures », rapporte le journal "Les Echos".
Dans sa parution du 13 octobre dernier, le journal Walf Quotidien a écrit : « En détention, Farba Ngom est suspecté, à travers les sociétés Woodrose-Investment et SF-Farms, d'être le propriétaire de 251 parcelles issues des lotissements, de 29 titres fonciers situés dans la commune de Ngor-Almadies, des terrains localisés au Burkina Faso, au Bénin, en Côte d'Ivoire et au Togo ». Selon le maire des Agnam, cette information porte atteinte à son honneur et à sa considération.
S'agissant de l'économiste, Meïssa Babou, il lui est reproché d'avoir soutenu, en commentant ces écrits : « ...ils ont choisi la facilité non pas dans l'éthique mais dans la magouille et des détournements (...) C'est de l'enrichissement illicite ».
Parallèlement à la saisine de la juridiction suprême pour obtenir la mainlevée de son mandat de dépôt, Farba Ngom, par le biais de ses avocats, a déposé deux plaintes, l'une auprès du procureur de la République et l'autre sur la table du commissaire de la Division spéciale de la cybersécurité (Dsc). Les plaintes sont déposées contre le journal Walf Quotidien, pour « diffamation », et l'économiste, Maissa Babou pour « injures », rapporte le journal "Les Echos".
Dans sa parution du 13 octobre dernier, le journal Walf Quotidien a écrit : « En détention, Farba Ngom est suspecté, à travers les sociétés Woodrose-Investment et SF-Farms, d'être le propriétaire de 251 parcelles issues des lotissements, de 29 titres fonciers situés dans la commune de Ngor-Almadies, des terrains localisés au Burkina Faso, au Bénin, en Côte d'Ivoire et au Togo ». Selon le maire des Agnam, cette information porte atteinte à son honneur et à sa considération.
S'agissant de l'économiste, Meïssa Babou, il lui est reproché d'avoir soutenu, en commentant ces écrits : « ...ils ont choisi la facilité non pas dans l'éthique mais dans la magouille et des détournements (...) C'est de l'enrichissement illicite ».