Tout est parti de l’interrogatoire du Procureur qui a demandé à Barthélémy Dias s’il était au courant de la présence, le 22 décembre 2011, d’éléments indésirables. Devant l’insistance du Procureur qui voulait se faire répondre par «Oui » ou par «Non», le tonitruant avocat est monté au créneau pour demander à ce «qu’on arrête de torturer » son client.
Ne voulant pas céder à la pression, Barthélémy Dias a répliqué qu’il n’était pas «un écolier» et qu’il allait devoir argumenter ses réponses.
La défense qui a interjeté une demande de suspension d’audience s’est vue déboutée par le juge qui demande la poursuite de la séance.
L’assistance s’est mise à applaudir devant cette intervention de Me Diouf et de son client.
Ne voulant pas céder à la pression, Barthélémy Dias a répliqué qu’il n’était pas «un écolier» et qu’il allait devoir argumenter ses réponses.
La défense qui a interjeté une demande de suspension d’audience s’est vue déboutée par le juge qui demande la poursuite de la séance.
L’assistance s’est mise à applaudir devant cette intervention de Me Diouf et de son client.