Ce Plan qui était critiqué par certains ministres lors de sa présentation mais aussi par Moubarack Lô, un ancien collaborateur du président Sall, ce plan est revenu dans le discours du chef de l’Etat. Macky Sall qui avait pris le contre pied de ses collaborateurs en avançant qu’il était lui l’élu revient aujourd’hui pour rappeler l’application prochaine de ce Plan.
« Nous mettrons en place le Plan Sénégal Emergent, une version accélérée de la Stratégie Nationale de Développement Economique et Social. En effet, même à plus de 4%, notre taux de croissance actuel est encore assez faible, et lent dans son rythme, pour induire les changements économiques et sociaux massifs et durables. »
« Le Plan Sénégal Emergent vise à porter ce taux à 7% au moins, et dans la durée. Il intègre des éléments du programme Yoonu Yokkuté et de la Stratégie Nationale de Développement Economique et Social. En harmonie avec nos engagements auprès de nos partenaires techniques et financiers, il sera décliné dans des projets et des réformes phares, pour accroitre la compétitivité de notre économie. Plus de 200 sénégalais, de hauts fonctionnaires de l’Administration, ainsi que des personnes ressources du secteur privé, de la société civile et de la diaspora ont travaillé pendant de longs mois sur ce document. Je les remercie tous pour leur contribution. »
« Nous mettrons en place le Plan Sénégal Emergent, une version accélérée de la Stratégie Nationale de Développement Economique et Social. En effet, même à plus de 4%, notre taux de croissance actuel est encore assez faible, et lent dans son rythme, pour induire les changements économiques et sociaux massifs et durables. »
« Le Plan Sénégal Emergent vise à porter ce taux à 7% au moins, et dans la durée. Il intègre des éléments du programme Yoonu Yokkuté et de la Stratégie Nationale de Développement Economique et Social. En harmonie avec nos engagements auprès de nos partenaires techniques et financiers, il sera décliné dans des projets et des réformes phares, pour accroitre la compétitivité de notre économie. Plus de 200 sénégalais, de hauts fonctionnaires de l’Administration, ainsi que des personnes ressources du secteur privé, de la société civile et de la diaspora ont travaillé pendant de longs mois sur ce document. Je les remercie tous pour leur contribution. »