L’émigration clandestine constitue un fléau qui doit mobiliser l’énergie de tous les dirigeants africains. C’est la conviction d’El Hadj Malick Gackou qui faisait le bilan du Forum international de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique qui s’est tenu à Diamniadio les 13 et 14 novembre dernier.
Selon lui, ces leaders devaient se saisir de cette occasion pour au moins se pencher sur la question car, menaçant l’avenir du Continent noir du fait que c’est sa jeunesse qui est engloutie par la mer.
Avant de marteler : «Face à la gravité de la situation et à l’échec des politiques publiques de nos différents Etats, nous dénonçons en tant que panafricains, la souffrance de cette jeunesse innocente, sans espoir d’avenir et sans perspectives de bien-être social, une jeunesse qui est désemparée et condamnée à la déchéance».
Quant au gouvernement du Sénégal, le leader du Grand parti (Gp) dénonce son indifférence «au sort de nos compatriotes qui périssent en Méditerranée».
Avant d’exiger qu’il prenne «les dispositions idoines pour le retour des jeunes Sénégalais concernés par cette catastrophe humaine, s’il ne veut pas être spectateur d’un Sénégal en décadence».
Selon lui, ces leaders devaient se saisir de cette occasion pour au moins se pencher sur la question car, menaçant l’avenir du Continent noir du fait que c’est sa jeunesse qui est engloutie par la mer.
Avant de marteler : «Face à la gravité de la situation et à l’échec des politiques publiques de nos différents Etats, nous dénonçons en tant que panafricains, la souffrance de cette jeunesse innocente, sans espoir d’avenir et sans perspectives de bien-être social, une jeunesse qui est désemparée et condamnée à la déchéance».
Quant au gouvernement du Sénégal, le leader du Grand parti (Gp) dénonce son indifférence «au sort de nos compatriotes qui périssent en Méditerranée».
Avant d’exiger qu’il prenne «les dispositions idoines pour le retour des jeunes Sénégalais concernés par cette catastrophe humaine, s’il ne veut pas être spectateur d’un Sénégal en décadence».