C’est un président Macky Sall « noir de colère » qui a convoqué au Palais de la République, le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, son collègue de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck, le chargé de la Communication de la présidence de la République, El Hadji Hamidou Kassé, le Haut Commandant de la gendarmerie et Directeur de la Justice militaire, Meïssa Niang, le Directeur Général de la Police Nationale (DGPN), Oumar Maal, le Commandant des Sapeurs-pompiers,… Le ton a été ainsi donné par le Chef de l’Etat avec « une très grande fermeté ».
Il ressort des informations recueillies par « l’Observateur » que Macky Sall ne veut pas que « cette affaire soit traitée avec légèreté et ne compte pas laisser passer ». Au-delà du délai de deux (2) qu’il a donnée pour l’enquête, l’on annonce que « les sanctions vont dépasser le cadre purement sportif pour s’étendre au niveau administratif et institutionnel ».
Si le Chef de l’Etat s’est braqué, c’est d’une part, à cause de la violence des actes relayés par les médias du monde et la perte de « vies innocentes ». Et, d’autre part, par les notes qui lui ont été faites par les services du ministère de l’Intérieur sur l’état des infrastructures sportives et les dangers qu’elles présentent. Mais ce qui va ulcérer le président Sall, c’est la non-prise en compte des recommandations des services techniques.
Dans les notes adressées à Macky, le « laxisme » dans la gestion des infrastructures a été relevé. En sus des « suspicions persistantes » et des « accusations de collusion », le « défaut de rigueur dans la conduite de certains travaux », inquiètent ces techniciens.
Il ressort des informations recueillies par « l’Observateur » que Macky Sall ne veut pas que « cette affaire soit traitée avec légèreté et ne compte pas laisser passer ». Au-delà du délai de deux (2) qu’il a donnée pour l’enquête, l’on annonce que « les sanctions vont dépasser le cadre purement sportif pour s’étendre au niveau administratif et institutionnel ».
Si le Chef de l’Etat s’est braqué, c’est d’une part, à cause de la violence des actes relayés par les médias du monde et la perte de « vies innocentes ». Et, d’autre part, par les notes qui lui ont été faites par les services du ministère de l’Intérieur sur l’état des infrastructures sportives et les dangers qu’elles présentent. Mais ce qui va ulcérer le président Sall, c’est la non-prise en compte des recommandations des services techniques.
Dans les notes adressées à Macky, le « laxisme » dans la gestion des infrastructures a été relevé. En sus des « suspicions persistantes » et des « accusations de collusion », le « défaut de rigueur dans la conduite de certains travaux », inquiètent ces techniciens.