Du nouveau dans l’affaire des cinq jeunes élèves officiers d'active, dont la jeune sénégalaise Fatou Seck Gningue, qui ont trouvé la mort ce lundi 3 octobre 2011 à Koulikoro. Un communiqué du ministère malien de la Défense révèle que «ces jeunes gens ont été victimes de sévices corporels ayant entrainé la mort. Ils appartenaient tous à la deuxième année d'élèves-officier d'active». Selon le site Rfi.fr, il n’y a toujours pas de détails sur les circonstances exactes de ces opérations punitives. On sait seulement que les responsables de ces actes criminels sont les élèves de la troisième année.
La même source indique qu’à «l'issue d'enquêtes menées par l'inspection générale des armées, la direction générale de la gendarmerie et celle de la sécurité militaire, des mesures disciplinaires et administratives ont été prises. Le commandant de l’Ecole interarmes du Mali, le commandant du centre d'instruction de Koulikoro et l'ensemble du personnel d'encadrement de l'EMIA sont relevés de leurs fonctions». Les instructeurs présents sur le terrain sont mis aux arrêts pour 60 jours. Quant aux élèves, les 24 élèves de la troisième année sont radiés des forces armées et mis à la disposition des juridictions compétentes. Selon le ministère de la Défense, les investigations se poursuivent.
La même source indique qu’à «l'issue d'enquêtes menées par l'inspection générale des armées, la direction générale de la gendarmerie et celle de la sécurité militaire, des mesures disciplinaires et administratives ont été prises. Le commandant de l’Ecole interarmes du Mali, le commandant du centre d'instruction de Koulikoro et l'ensemble du personnel d'encadrement de l'EMIA sont relevés de leurs fonctions». Les instructeurs présents sur le terrain sont mis aux arrêts pour 60 jours. Quant aux élèves, les 24 élèves de la troisième année sont radiés des forces armées et mis à la disposition des juridictions compétentes. Selon le ministère de la Défense, les investigations se poursuivent.