Pas plus tard qu’hier, la tutelle, Eva Marie Coll Seck annonçait dans le communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik.com qu’à ce jour, tous les cas qui seraient entrés en contact avec le jeune étudiant Guinéen porteur du virus Ebola, « ont été identifiés et bénéficient d’un suivi biquotidien et ne présentent aucun signe de maladie ». Mais il semblerait que les services du ministère de la Santé et de l’Action sociale n’excluent pas le pire. C’est ainsi que le Sénégal se préparant à toute éventualité, l’Armée se signale dans la lutte. Il s’agit de l’aménagement au niveau de la partie arrière du Service des maladies infectieuses du Centre National Hospitalier Universitaire (CHU) de Fann. Ce, grâce au Génie militaire de l’Armée pour un camp de recueil des cas qui dépasseraient la capacité d’accueil du Pavillon Salif Badiane.
Selon le Dr Abdoulaye Bousso, conseiller technique du ministre de la Santé et de l’Action sociale, dans les colonnes du journal « lequotidien », «l’idée est de disposer d’un camp plus vaste pour recueillir d’éventuels cas de virus, si les capacités actuelles venaient à être dépassées. Le Pavillon Salif Badiane de la Clinique des maladies infectieuses de Fann est extensible jusqu’à 12 lits, compte non tenu d’une annexe, qui peut contenir 3 lits, donc 15 lits au total».
Selon le Dr Abdoulaye Bousso, conseiller technique du ministre de la Santé et de l’Action sociale, dans les colonnes du journal « lequotidien », «l’idée est de disposer d’un camp plus vaste pour recueillir d’éventuels cas de virus, si les capacités actuelles venaient à être dépassées. Le Pavillon Salif Badiane de la Clinique des maladies infectieuses de Fann est extensible jusqu’à 12 lits, compte non tenu d’une annexe, qui peut contenir 3 lits, donc 15 lits au total».