Dans les perspectives économiques régionales qu’ils a publiées le weekend, les fonctionnaires du fonds monétaire international (FMI) ont souligné qu’aussi peu important qu’est était la baisse de croissance dans la majorité des pays, les effets de la crise économique ont été assez dramatiques en certaines contrées.
Les auteurs indiquent que les politiques de réduction de la pauvreté auront particulièrement souffert de cette situation. Le document cite les données de la Banque mondiale, qui considèrent que 7 millions de personnes dans la région de l’Afrique du Sud du Sahara, n’ont pas pu sortir des statistiques de la pauvreté, du fait des contre-performances économiques mondiales.
D’autres exemples sont également cités : «le ralentissement a toutefois entraîné des perturbations sociales et des souffrances considérables. Même s’il reste impossible de citer des chiffres précis, il ne fait aucun doute que les destructions d’emplois et la raréfaction des débouchés ont touché des millions de ménages ». en effet selon le quotidien : «dans la seule Afrique du sud, où il est plus facile d’obtenir des informations à jour ; quelque 900 000 emplois ont été détruits en 2009, ce qui a aggravé un chômage déjà élevé. Bien que la croissance économique n’ait que modérément fléchi dans la plupart des pays à faible revenu, le ralentissement a infligé des dommages durables à la région ».
Néanmoins puisque la machine a repris son fonctionnement normal, selon les spécialistes du Fonds, ‘‘les perspectives’’ ne peuvent qu’être rayonnantes pour le continent noir, la croissance du PIB dépassera les 5% en 2011, sous l’impulsion de la reprise économique mondiale.
Les auteurs indiquent que les politiques de réduction de la pauvreté auront particulièrement souffert de cette situation. Le document cite les données de la Banque mondiale, qui considèrent que 7 millions de personnes dans la région de l’Afrique du Sud du Sahara, n’ont pas pu sortir des statistiques de la pauvreté, du fait des contre-performances économiques mondiales.
D’autres exemples sont également cités : «le ralentissement a toutefois entraîné des perturbations sociales et des souffrances considérables. Même s’il reste impossible de citer des chiffres précis, il ne fait aucun doute que les destructions d’emplois et la raréfaction des débouchés ont touché des millions de ménages ». en effet selon le quotidien : «dans la seule Afrique du sud, où il est plus facile d’obtenir des informations à jour ; quelque 900 000 emplois ont été détruits en 2009, ce qui a aggravé un chômage déjà élevé. Bien que la croissance économique n’ait que modérément fléchi dans la plupart des pays à faible revenu, le ralentissement a infligé des dommages durables à la région ».
Néanmoins puisque la machine a repris son fonctionnement normal, selon les spécialistes du Fonds, ‘‘les perspectives’’ ne peuvent qu’être rayonnantes pour le continent noir, la croissance du PIB dépassera les 5% en 2011, sous l’impulsion de la reprise économique mondiale.