Le Programme de Développement des Réseaux pour l’Education en Afrique de l’Ouest (PRODERE-AO) a réuni ses partenaires en matière d’éducation pour faire le point sur le résultat des engagements de leurs Etats. Il est ressorti de cette rencontre que les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) ne seront pas atteints par les pays africains. Les raisons évoqués concernent plusieurs points selon le président de la Coalition des Organisations en Synergie pour la Défense de l’Education Publique (COSYDEP), M. Cheikh Mbow.
Il est ainsi revenu sur certains dont la scolarisation universelle. De son avis, il existe des zones réfractaires. Selon le président du COSYDEP, l’obligation de scolarisation n’est pas appliquée au Sénégal. En ce qui concerne la discrimination, les handicapés ne sont pas pris en compte en matière d’infrastructure et d’accès. Pour la qualité, le quota sécuritaire et la non formation du personnel enseignant sont des handicaps.
Ce sont plusieurs raisons qui ont poussé aussi le président du PRODERE-AO du Mali, M. Famarou Keïta a lui embauché le pas. Pour lui, «ce serait impossible ! Nous savons que nous ne pouvons pas atteindre la scolarisation universelle». A l'en croire, la qualité de l’éducation laisse à désirer: « on recrute ‘‘tout venant’’, il y a partout des contractuels qui n’ont pas une formation de base, qui ne suivent pas une formation continue et qui ont en charge des enfants dans les classes. On ne pourra jamais même en l’an 2020 atteindre les OMD» a-t-il soutenu.
Le représentant du ministre de l’éducation, M. Moussa Ndiaye, a fait savoir qu' "au niveau de l’élémentaire, le Sénégal est à 98% et si de nouvelles stratégies sont développées, les 2% pourront être résorbés". Il a tenu a souligné que "cela ne sera possible qu’avec l’aide des partenaires car l’Etat ne peut ,à lui seul, y arriver".
Le président de la coalition éducation pour tous, M. Siléye Gojbar Sy de faire remarquer que "pour atteindre les objectifs le système informel ne doit pas être laissé en rade et qu’il faut les comptabiliser".
Il est ainsi revenu sur certains dont la scolarisation universelle. De son avis, il existe des zones réfractaires. Selon le président du COSYDEP, l’obligation de scolarisation n’est pas appliquée au Sénégal. En ce qui concerne la discrimination, les handicapés ne sont pas pris en compte en matière d’infrastructure et d’accès. Pour la qualité, le quota sécuritaire et la non formation du personnel enseignant sont des handicaps.
Ce sont plusieurs raisons qui ont poussé aussi le président du PRODERE-AO du Mali, M. Famarou Keïta a lui embauché le pas. Pour lui, «ce serait impossible ! Nous savons que nous ne pouvons pas atteindre la scolarisation universelle». A l'en croire, la qualité de l’éducation laisse à désirer: « on recrute ‘‘tout venant’’, il y a partout des contractuels qui n’ont pas une formation de base, qui ne suivent pas une formation continue et qui ont en charge des enfants dans les classes. On ne pourra jamais même en l’an 2020 atteindre les OMD» a-t-il soutenu.
Le représentant du ministre de l’éducation, M. Moussa Ndiaye, a fait savoir qu' "au niveau de l’élémentaire, le Sénégal est à 98% et si de nouvelles stratégies sont développées, les 2% pourront être résorbés". Il a tenu a souligné que "cela ne sera possible qu’avec l’aide des partenaires car l’Etat ne peut ,à lui seul, y arriver".
Le président de la coalition éducation pour tous, M. Siléye Gojbar Sy de faire remarquer que "pour atteindre les objectifs le système informel ne doit pas être laissé en rade et qu’il faut les comptabiliser".