En 2019 novembre, le Sénégal s’est engagé à accélérer la promesse du Programme international sur la population et le développement (CIPD), afin d’intensifier les efforts pour la mise en œuvre et le financement complet, efficace et accéléré de son programme d’action. Ceci inclut d’ici 2030 de mettre fin à toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et des jeunes filles et aux violences basées sur le même genre notamment les mariages d’enfants, les mutations génitales féminines/excision et autres pratiques néfastes. Pour se faire, ils préconisent le renforcement du cadre législatif et réglementaire, à travers l’adoption d’une loi criminalisant le viol, visant l’élimination des violences basées sur le genre et l’offre des services de prévention et de prise en charge des victimes de violences.
Genre, c’est un concept d’après la députée Mously Diakhaté, pour veiller sur l’autre et faire en sorte que personne ne soit lésé par la société par rapport au politique publique. « En tant que parlementaire notre rôle, c’est la représentation, nous votons un budget et contrôlons les actions gouvernementales. Mais aujourd’hui nous avons une nouvelle fonction qui est l’évaluation des politiques publiques. Ce qu’on peut faire quand on vote et donne un quitus pour le budget, c’est de veiller au besoin de la population », développe la parlementaire Juliette Zenga.
Ce forum permet aux parlementaires de se connecter et de coordonner et de définir des programmes qui correspondent aux engagements politiques internationaux/Régionaux avec les améliorations politiques requises et les allocations budgétaires nécessaires au niveau national. Il soutient l’élan politique vers la réalisation de la couverture sanitaire universelle des engagements en matière d’égalité des sexes permet l’air élaboration/l’examen de loi-cadre réglementaire qui favorise la cohérence des politiques renforce la mise en œuvre. Et les besoins des populations qui seront prises en compte dans les stratégies nationales.
Les parlementaires ont réaffirmé leur engagement pour soutenir l’élan politique vers la réalisation des engagements du programme international sur la population et le développement de la couverture sanitaire universelle et l’égalité des sexes. « La politique actuelle de Couverture sanitaire universelle est l’engagement qui a été prise pour ne laisser personne en rade. C’est ce qui fait aujourd’hui qu’il y a les relais communautaires qui ont leur importance dans le système et qu’il faut les prendre en compte. Lors des sommets de rencontres au Nairobi pour voir ce qui a été fait pour accompagner et complété la politique sur la population et le développement », explique la députée Juliette Zenga.
Montrant leurs engagements, les parlementaires prévoient d'« allez à la base et faire remonter les problèmes de la population par rapport à ce qui est dit. Il faut au moins accomplir ces projets pour accompagner les femmes, jeunes et les adolescents ». Il faudra de ce fait soutenir et veiller à l’applicabilité « par exemple du projet de planification familiale des femmes et des jeunes et adolescents. Pour les soins de santé primaire, il faudrait l’accessibilité les infrastructures des populations de se faire soigner », affirme Mously Diakhaté.
Genre, c’est un concept d’après la députée Mously Diakhaté, pour veiller sur l’autre et faire en sorte que personne ne soit lésé par la société par rapport au politique publique. « En tant que parlementaire notre rôle, c’est la représentation, nous votons un budget et contrôlons les actions gouvernementales. Mais aujourd’hui nous avons une nouvelle fonction qui est l’évaluation des politiques publiques. Ce qu’on peut faire quand on vote et donne un quitus pour le budget, c’est de veiller au besoin de la population », développe la parlementaire Juliette Zenga.
Ce forum permet aux parlementaires de se connecter et de coordonner et de définir des programmes qui correspondent aux engagements politiques internationaux/Régionaux avec les améliorations politiques requises et les allocations budgétaires nécessaires au niveau national. Il soutient l’élan politique vers la réalisation de la couverture sanitaire universelle des engagements en matière d’égalité des sexes permet l’air élaboration/l’examen de loi-cadre réglementaire qui favorise la cohérence des politiques renforce la mise en œuvre. Et les besoins des populations qui seront prises en compte dans les stratégies nationales.
Les parlementaires ont réaffirmé leur engagement pour soutenir l’élan politique vers la réalisation des engagements du programme international sur la population et le développement de la couverture sanitaire universelle et l’égalité des sexes. « La politique actuelle de Couverture sanitaire universelle est l’engagement qui a été prise pour ne laisser personne en rade. C’est ce qui fait aujourd’hui qu’il y a les relais communautaires qui ont leur importance dans le système et qu’il faut les prendre en compte. Lors des sommets de rencontres au Nairobi pour voir ce qui a été fait pour accompagner et complété la politique sur la population et le développement », explique la députée Juliette Zenga.
Montrant leurs engagements, les parlementaires prévoient d'« allez à la base et faire remonter les problèmes de la population par rapport à ce qui est dit. Il faut au moins accomplir ces projets pour accompagner les femmes, jeunes et les adolescents ». Il faudra de ce fait soutenir et veiller à l’applicabilité « par exemple du projet de planification familiale des femmes et des jeunes et adolescents. Pour les soins de santé primaire, il faudrait l’accessibilité les infrastructures des populations de se faire soigner », affirme Mously Diakhaté.