L'organisation évoque de nombreuses exactions dans les régions anglophones, pendant la période qui a précédé le double scrutin du 9 février.
Une centaine de personnes ont été enlevées par les séparatistes pendant cette période. Des électeurs ont été menacés, et des biens, incendiés selon Human Rights Watch qui note que les forces de sécurité camerounaises ont été déployées en nombre, mais que celles-ci se livrent trop souvent à des exactions, et qu'elles ont recours à la force de façon indiscriminée.
Une centaine de personnes ont été enlevées par les séparatistes pendant cette période. Des électeurs ont été menacés, et des biens, incendiés selon Human Rights Watch qui note que les forces de sécurité camerounaises ont été déployées en nombre, mais que celles-ci se livrent trop souvent à des exactions, et qu'elles ont recours à la force de façon indiscriminée.