C’est ce 26 avril que démarrent les élections de représentativité des syndicats du secteur de l’enseignement. Ces élections, qui sont une première au Sénégal, vont se dérouler avec des manquements relevés par les syndicats.
En effet, du Saems au Cusems, en passant la Grand cadre, les acteurs décrient une organisation calamiteuse, qui oblige dès fois des enseignants à parcourir plusieurs kilomètres pour accomplir leur droit.
Ce qui, de l’avis de certains d’entre eux, a été fait à dessein par le ministre du travail, Mansour Sy, afin de les décourager, pour pouvoir jeter le discrédit sur les syndicats. Car, avec un taux élevé d’abstention, il pourra soutenir que lesdits syndicats n’adhèrent plus les enseignants.
Mais, à les en croire, c’est peine perdue, d’autant plus qu’ils sont décidés à braver tous les périls afin de désigner les syndicats les plus significatifs qui vont les représenter dans les discussions avec le gouvernement, et défendre leurs intérêts.
Ces élections seront suivies, le 11 mai prochain, de celles des centrale syndicales qui, elles aussi, font déjà l’objet de polémiques.
En effet, du Saems au Cusems, en passant la Grand cadre, les acteurs décrient une organisation calamiteuse, qui oblige dès fois des enseignants à parcourir plusieurs kilomètres pour accomplir leur droit.
Ce qui, de l’avis de certains d’entre eux, a été fait à dessein par le ministre du travail, Mansour Sy, afin de les décourager, pour pouvoir jeter le discrédit sur les syndicats. Car, avec un taux élevé d’abstention, il pourra soutenir que lesdits syndicats n’adhèrent plus les enseignants.
Mais, à les en croire, c’est peine perdue, d’autant plus qu’ils sont décidés à braver tous les périls afin de désigner les syndicats les plus significatifs qui vont les représenter dans les discussions avec le gouvernement, et défendre leurs intérêts.
Ces élections seront suivies, le 11 mai prochain, de celles des centrale syndicales qui, elles aussi, font déjà l’objet de polémiques.