Dans le quartier du PK5 de la capitale de Centrafrique, des files d'attente s’allongeaient à 8h30 TU (9h30 à Bangui) dans l'école primaire Gbaya-Doumbia, notamment parce que la moitié des bureaux de vote étaient à l'arrêt, rapporte notre envoyé spécial François Mazet. La faute à une erreur dans la distribution des bulletins pour les élections législatives. Les bulletins d'une mauvaise circonscription avaient été amenés.
Certains électeurs qui étaient là depuis 5h TU commençaient à s'agacer et à faire part de leur mécontentement, de même que des candidats lésés par cette erreur, dont l'impact se faisait également sentir sur plusieurs autres centres de vote du PK5. Le problème était en phase de résolution à la mi-journée.
Ce matin, des retards ont été constatés dans la plupart des bureaux de vote : 1h minimum, jusqu'à 1h45 pour ce quadruple scrutin.
L'école primaire Gbaya-Doumbia est un des principaux centres de vote, avec 16 bureaux et entre 450 à 500 électeurs par bureau, qui doivent donc glisser quatre bulletins dans quatre urnes différentes pour la présidentielle, les législatives, ainsi que les élections régionales et municipales, les toutes premières depuis 1988.
Ailleurs à Bangui, au lycée Barthélemy Boganda, il a aussi fallu prendre son mal en patience pour les électeurs qui étaient venus dès 5h TU (6h en RCA), l'heure théorique d'ouverture. Finalement, les opérations électorales y ont commencé avec 1h à 1h20 de retard, selon les bureaux.
La mise en place a en effet pris un certain temps, avec les listes électorales à afficher et ces quatre urnes par bureau, chacune avec un couvercle de couleur. Les bulletins, eux ont les couleurs qui vont avec les couvercles : rouge pour la présidentielle, bleu pour les députés, blanc pour les régionales, et gris pour les municipales. Tout se passait en bon ordre à 7h TU (8h heure locale), même si les gens ont un peu de mal à s'y retrouver entre les différents bulletins, les différentes urnes et puis à trouver leurs noms sur les listes.
Le lycée Barthélemy Boganda est aussi un des principaux centres de vote. C'est là qu'est inscrit le président Touadera qui a voté vers 9h30. C'est un lieu symbolique qui a connu un drame en juin dernier, lorsqu'un mouvement de foule, lors des épreuves du baccalauréat, avait causé la mort d'une vingtaine de jeunes dans un chaos certain.
Certains électeurs qui étaient là depuis 5h TU commençaient à s'agacer et à faire part de leur mécontentement, de même que des candidats lésés par cette erreur, dont l'impact se faisait également sentir sur plusieurs autres centres de vote du PK5. Le problème était en phase de résolution à la mi-journée.
Ce matin, des retards ont été constatés dans la plupart des bureaux de vote : 1h minimum, jusqu'à 1h45 pour ce quadruple scrutin.
L'école primaire Gbaya-Doumbia est un des principaux centres de vote, avec 16 bureaux et entre 450 à 500 électeurs par bureau, qui doivent donc glisser quatre bulletins dans quatre urnes différentes pour la présidentielle, les législatives, ainsi que les élections régionales et municipales, les toutes premières depuis 1988.
Ailleurs à Bangui, au lycée Barthélemy Boganda, il a aussi fallu prendre son mal en patience pour les électeurs qui étaient venus dès 5h TU (6h en RCA), l'heure théorique d'ouverture. Finalement, les opérations électorales y ont commencé avec 1h à 1h20 de retard, selon les bureaux.
La mise en place a en effet pris un certain temps, avec les listes électorales à afficher et ces quatre urnes par bureau, chacune avec un couvercle de couleur. Les bulletins, eux ont les couleurs qui vont avec les couvercles : rouge pour la présidentielle, bleu pour les députés, blanc pour les régionales, et gris pour les municipales. Tout se passait en bon ordre à 7h TU (8h heure locale), même si les gens ont un peu de mal à s'y retrouver entre les différents bulletins, les différentes urnes et puis à trouver leurs noms sur les listes.
Le lycée Barthélemy Boganda est aussi un des principaux centres de vote. C'est là qu'est inscrit le président Touadera qui a voté vers 9h30. C'est un lieu symbolique qui a connu un drame en juin dernier, lorsqu'un mouvement de foule, lors des épreuves du baccalauréat, avait causé la mort d'une vingtaine de jeunes dans un chaos certain.