En Afrique du Sud, le maire de Johannesburg veut développer le tourisme des cimetières. Une pratique encore très peu répandue, alors que de nombreux héros sud-africains, notamment de la lutte anti-apartheid, y reposent. À Soweto, cœur de la lutte et de la répression, le cimetière Avalon – l’un des plus grands de la ville, s’est doté de nouvelles installations et prépare déjà le terrain pour accueillir des touristes du monde entier.
Il y a encore un an, l'accueil du cimetière Avalon se résumait à une rangée de chaises. Aujourd’hui, on y trouve une grande fresque historique. « Vous avez toute l’histoire d'Avalon, cimetière inauguré en 1972. » L’histoire est là ; Azola Manjati, directeur du cimetière, veut maintenant la rendre accessible. « Vous voyez ? Là, c’est notre nouvelle signalisation. Elle indique où se trouvent les personnalités importantes. C’est tout nouveau, nous l’avons installée en juillet. »
Des panneaux qui mènent par exemple à la tombe d'Hector Pieterson, tué à 12 ans lors de la violente répression de 1976. « Sa tombe est loin du carré des héros. Parce qu'en 1976, ces figures n'étaient pas encore considérées comme des héros. »
Il y a encore un an, l'accueil du cimetière Avalon se résumait à une rangée de chaises. Aujourd’hui, on y trouve une grande fresque historique. « Vous avez toute l’histoire d'Avalon, cimetière inauguré en 1972. » L’histoire est là ; Azola Manjati, directeur du cimetière, veut maintenant la rendre accessible. « Vous voyez ? Là, c’est notre nouvelle signalisation. Elle indique où se trouvent les personnalités importantes. C’est tout nouveau, nous l’avons installée en juillet. »
Des panneaux qui mènent par exemple à la tombe d'Hector Pieterson, tué à 12 ans lors de la violente répression de 1976. « Sa tombe est loin du carré des héros. Parce qu'en 1976, ces figures n'étaient pas encore considérées comme des héros. »