Les conclusions du rapport 2014 de la Cour des comptes ne concerne que la période s’étalant entre 2008 et 2010 a déclaré le Directeur de la communication. Et à ce moment, précise-t-il, lui et son équipe n’avaient pas pris fonction.
«En ce qui concerne l’actualité de l’aide à la presse, je voudrais dire que le rapport de la Cour des comptes concerne la période 2008-2010, on n’était pas encore là. Mais cela se comprend. C’est pourquoi nous voulons que les gens nous aident pour adopter le nouveau code de la presse », a-t-il déclaré.
Le Directeur de la communication d’expliquer que le texte régissant le code de la presse est obsolète et qu’il était donc nécessaire de voter le nouveau code qui dort dans les tiroirs des députés.
«Le texte qui régit la presse au Sénégal est complètement obsolète. C’est pour cette raison qu’il y a cette dérive, sur l’aide à la presse. Il y a des gens qui n’ont pas droit à l’aide à la presse, mais on est obligé de les aider. Il y a des gens qui croient qu’ils en ont doit, comme les correspondants régionaux qui se plaignent alors que leur rédaction centrale ont reçu leur part. Si nous réussissions à faire adopter le code de la presse, il n’y aura plus de problème», a-t-il martelé.
«En ce qui concerne l’actualité de l’aide à la presse, je voudrais dire que le rapport de la Cour des comptes concerne la période 2008-2010, on n’était pas encore là. Mais cela se comprend. C’est pourquoi nous voulons que les gens nous aident pour adopter le nouveau code de la presse », a-t-il déclaré.
Le Directeur de la communication d’expliquer que le texte régissant le code de la presse est obsolète et qu’il était donc nécessaire de voter le nouveau code qui dort dans les tiroirs des députés.
«Le texte qui régit la presse au Sénégal est complètement obsolète. C’est pour cette raison qu’il y a cette dérive, sur l’aide à la presse. Il y a des gens qui n’ont pas droit à l’aide à la presse, mais on est obligé de les aider. Il y a des gens qui croient qu’ils en ont doit, comme les correspondants régionaux qui se plaignent alors que leur rédaction centrale ont reçu leur part. Si nous réussissions à faire adopter le code de la presse, il n’y aura plus de problème», a-t-il martelé.