Me Abboulaye Babou a soutenu que "toute personne victime d'une erreur médicale a le droit de porter plainte", en réaction à la tentative d'immolation vendredi soir aux abords du Palais présidentiel, de Cheikh Tidiane Diop, d'une quarantaine d'années, "amputé du bras" à la suite d'une "erreur médicale".
"Quand il y a une erreur médicale, la personne concernée, si elle a survécu, ou ses parents, ont parfaitement le droit d'intenter une action judiciaire contre la structure médicale et aussi contre l'auteur", a confié l'avocat à la Rfm.
Une fois la plainte déposée, poursuit Me Babou, "le juge d'instruction fera son travail" en ce moment. "Il y aura des inculpations et ensuite un jugement où les victimes seront dédommagées et les coupables condamnés", explique-t-il.
Par ailleurs, Me Abboulaye Babou a déploré le fait que l'Assemblée nationale n'use pas les possibilités qu'elle a pour agir en cas d'erreur médicale. "Elle peut convoquer le ministre de la Santé par beaucoup de voies" pour 'informer l'opinion' sur ces genres de questions "d'intérêt national".
"Quand il y a une erreur médicale, la personne concernée, si elle a survécu, ou ses parents, ont parfaitement le droit d'intenter une action judiciaire contre la structure médicale et aussi contre l'auteur", a confié l'avocat à la Rfm.
Une fois la plainte déposée, poursuit Me Babou, "le juge d'instruction fera son travail" en ce moment. "Il y aura des inculpations et ensuite un jugement où les victimes seront dédommagées et les coupables condamnés", explique-t-il.
Par ailleurs, Me Abboulaye Babou a déploré le fait que l'Assemblée nationale n'use pas les possibilités qu'elle a pour agir en cas d'erreur médicale. "Elle peut convoquer le ministre de la Santé par beaucoup de voies" pour 'informer l'opinion' sur ces genres de questions "d'intérêt national".